terça-feira, 31 de dezembro de 2013
segunda-feira, 30 de dezembro de 2013
Memória Rock
Isto merece ser ouvido (mesmo que faça mais parte das minhas memórias do quer das de muita gente): Credencie (clique aqui)
domingo, 29 de dezembro de 2013
Budget 2014 : le Conseil constitutionnel censure le plafonnement de l'ISF - Le Monde, informação atual, às 9 horas
TRIBUNAL CONSTITUCIONAL DE FRANÇA CHUMBA NORMAS DA LEI DAS FINANÇAS PARA 2014
EM FRANÇA, O TRIBUNAL CONSTITUCIONAL CHUMBOU 17 DISPOSIÇÕES DA LEI DAS FINANÇAS PARA 2014 - Alguns dos exemplares mais brilhantes da idiotice nacional, europeizada e globalizada ainda não se deram conta de que o que está em causa com certas medidas de transferência de recursos dos mais pobres para os mais ricos são contra a constituição do Estado. Correspondem, de facto, ao estabelecimento, ou tentativa de estabelecimento, da lei da selva.
É que o Estado não se constitui, nem se institui muito menos, por decisão dos governos, nem sequer dos tribunais, mas por vontade das pessoas. A aprovação de uma lei constitucional é uma consequência da constituição de um Estado civil e é da estrita responsabilidade da estrutura legislativa do Estado, o povo.
Os governos, os tribunais, todas as estruturas de poder só o têm legitimamente se respeitarem escrupulosamente a Constituição que permite a sua existência.
Por outro lado, talvez os brilhantes idiotas devam saber que os tribunal constitucional, em Portugal pelo menos, não pode perseguir e condenar decisões executivas por sua própria iniciativa, o que lhe dá a imparcialidade formal necessária, para que juízes sensatos mantenham os seus juízos, independentemente das idiotices.
É que o Estado não se constitui, nem se institui muito menos, por decisão dos governos, nem sequer dos tribunais, mas por vontade das pessoas. A aprovação de uma lei constitucional é uma consequência da constituição de um Estado civil e é da estrita responsabilidade da estrutura legislativa do Estado, o povo.
Os governos, os tribunais, todas as estruturas de poder só o têm legitimamente se respeitarem escrupulosamente a Constituição que permite a sua existência.
Por outro lado, talvez os brilhantes idiotas devam saber que os tribunal constitucional, em Portugal pelo menos, não pode perseguir e condenar decisões executivas por sua própria iniciativa, o que lhe dá a imparcialidade formal necessária, para que juízes sensatos mantenham os seus juízos, independentemente das idiotices.
sábado, 28 de dezembro de 2013
Maldito Heidegger: Tão Genial e Tão Idiota
La révélation de textes antisémites disséminés dans le "Journal de pensée" d'Heidegger (les Cahiers noirs, Schwartze Hefte, en cours d'édition dans la maison qui publie la Gesamtausgabe, Vittorio Klostermann) continue à produire sa prévisible onde de choc. C'est au tour de la presse allemande d'entrer dans la danse en reprenant les éléments d'un scandale d'abord parisien, tout en apportant quelques informations supplémentaires. Dans un article paru dans la Frankfurter Allgemeine Zeitung (14/12/2013) et intitulé "Debakel für Frankreichs Philosophie", Jürg Altwegg, fin observateur de la scène intellectuelle hexagonale, ironise sur les événements de ces derniers jours. Il se demande carrément si la philosophie contemporaine française, dont les grandes gloires, Jacques Derrida notamment, ne sont à en croire le mot mordant de George Steiner que des "notes de bas de page" d'Heidegger, pourra se relever de ces révélations, elle dont les tenants ont tout fait pour exonérer l'auteur d'Être et Temps du pire, en l’occurrence l'antisémitisme s'exprimant en plein régime hitlérien.
L'Heideggerrei (la passion pour Heidegger) a toujours étonné ou choqué les plus importants penseurs allemands de l'après guerre, à commencer par Adorno. Pour beaucoup d'entre eux, le cas était réglé, et il était difficile de faire carrière en philosophie avec Heidegger, au rebours de la France. D'autant que l'inscription du philosophe dans l'univers et le contexte des grandes tendances du nationalisme et de la révolution conservatrice de l'époque de Weimar ne paraissait guère faire de doute. Décontextualisé à Paris, Heidegger semblait plus immatériel. Voilà sans doute pourquoi c'est en France que le maître de Fribourg-en-Brisgau a irrigué une bonne partie de la pensée française, fût-elle la plus critique, de Paul Ricœur à Michel Foucault en passant par Pierre Clastres ou Jean-Luc Marion. Le conservatoire heideggerien était par excellence les grandes khâgnes où les charismatiques professeurs de philosophie diffusaient la doctrine, de Jean Beauffret, le dédicataire de "La Lettre sur l'humanisme", à François Fédier, le gardien de l'orthodoxie et de la pureté du maître, en dépit des évidences qui se sont accumulées au gré de l'ouverture des archives.
FUITES
On en sait désormais un peu plus sur la façon dont les textes, qui ne devaient être rendus publics qu'au printemps, ont filtré parmi les heideggeriens français les plus farouchement attachés à l'héritage du maître. Ceux-ci avaient obstinément défendu la thèse de l'égarement passager d'Heidegger dans l'aventure national-socialiste. Parallèlement à son travail d'éditeur de la Gesamtausgabe, l'érudit et philosophe Peter Trawny, qui a fondé l'an passé le premier institut Martin Heidegger dans l'espace germanophone, à l'université de Wuppertal, a écrit un essai sur Heidegger und der Mythos der jüdischen Weltverschwörung("Heidegger et le mythe du complot juif mondial"). Coauteur du Dictionnaire Martin Heidegger (Cerf, 1 454 p., 30 €), où il a signé un fort intéressant article consacré aux relations Hegel-Heidegger, Peter Trawny a comme c'est l'usage entre collègues, fait circuler confidentiellement son manuscrit (lequel ne pouvait voir le jour avant que l'édition V. Klostermann ne fût achevée) ; mal lui en a pris car lesdits collègues ont "violé l'embargo". Pourquoi cette indiscrétion, pour ne pas dire déloyauté ? S'agit-il de torpiller ou retarder la sortie de documents susceptibles de faire porter sur l'entreprise heideggerienne une ombre définitive ? Veut-on désamorcer à l'avance l'impact de ces découvertes ?
Quoi qu'il en soit, il sera bientôt difficile de lire l'Heidegger des années 1930, sans parler aussi de son obsession pour la révolution hölderlinienne (du nom du poète romantique Hölderlin, 1770-1843 qui termine son poème de 1802, Patmos : "Le plus souvent, que soignée devienne/ La lettre immuable, et l’existant bien/ Interprété. À cela se plie le chant allemand"), ou évoquer la réalisation du programme platonicien du "Philosophe-Roi" (comme le suggère Christian Sommer) et inspiré par le national conservatisme du Tat-Kreis auquel appartenait son ami aussi Ernst Jünger. Tout cela, loin de nous inviter à ne pas lire Heidegger comme le suggèrent les "gardiens du Graal" heideggerien, devrait plutôt nous inciter à en redécouvrir un autre. Celui de son œuvre principale de 1927 qui réalisa une véritable révolution, philosophique celle-là, Être et Temps.
L'Heideggerrei (la passion pour Heidegger) a toujours étonné ou choqué les plus importants penseurs allemands de l'après guerre, à commencer par Adorno. Pour beaucoup d'entre eux, le cas était réglé, et il était difficile de faire carrière en philosophie avec Heidegger, au rebours de la France. D'autant que l'inscription du philosophe dans l'univers et le contexte des grandes tendances du nationalisme et de la révolution conservatrice de l'époque de Weimar ne paraissait guère faire de doute. Décontextualisé à Paris, Heidegger semblait plus immatériel. Voilà sans doute pourquoi c'est en France que le maître de Fribourg-en-Brisgau a irrigué une bonne partie de la pensée française, fût-elle la plus critique, de Paul Ricœur à Michel Foucault en passant par Pierre Clastres ou Jean-Luc Marion. Le conservatoire heideggerien était par excellence les grandes khâgnes où les charismatiques professeurs de philosophie diffusaient la doctrine, de Jean Beauffret, le dédicataire de "La Lettre sur l'humanisme", à François Fédier, le gardien de l'orthodoxie et de la pureté du maître, en dépit des évidences qui se sont accumulées au gré de l'ouverture des archives.
FUITES
On en sait désormais un peu plus sur la façon dont les textes, qui ne devaient être rendus publics qu'au printemps, ont filtré parmi les heideggeriens français les plus farouchement attachés à l'héritage du maître. Ceux-ci avaient obstinément défendu la thèse de l'égarement passager d'Heidegger dans l'aventure national-socialiste. Parallèlement à son travail d'éditeur de la Gesamtausgabe, l'érudit et philosophe Peter Trawny, qui a fondé l'an passé le premier institut Martin Heidegger dans l'espace germanophone, à l'université de Wuppertal, a écrit un essai sur Heidegger und der Mythos der jüdischen Weltverschwörung("Heidegger et le mythe du complot juif mondial"). Coauteur du Dictionnaire Martin Heidegger (Cerf, 1 454 p., 30 €), où il a signé un fort intéressant article consacré aux relations Hegel-Heidegger, Peter Trawny a comme c'est l'usage entre collègues, fait circuler confidentiellement son manuscrit (lequel ne pouvait voir le jour avant que l'édition V. Klostermann ne fût achevée) ; mal lui en a pris car lesdits collègues ont "violé l'embargo". Pourquoi cette indiscrétion, pour ne pas dire déloyauté ? S'agit-il de torpiller ou retarder la sortie de documents susceptibles de faire porter sur l'entreprise heideggerienne une ombre définitive ? Veut-on désamorcer à l'avance l'impact de ces découvertes ?
Quoi qu'il en soit, il sera bientôt difficile de lire l'Heidegger des années 1930, sans parler aussi de son obsession pour la révolution hölderlinienne (du nom du poète romantique Hölderlin, 1770-1843 qui termine son poème de 1802, Patmos : "Le plus souvent, que soignée devienne/ La lettre immuable, et l’existant bien/ Interprété. À cela se plie le chant allemand"), ou évoquer la réalisation du programme platonicien du "Philosophe-Roi" (comme le suggère Christian Sommer) et inspiré par le national conservatisme du Tat-Kreis auquel appartenait son ami aussi Ernst Jünger. Tout cela, loin de nous inviter à ne pas lire Heidegger comme le suggèrent les "gardiens du Graal" heideggerien, devrait plutôt nous inciter à en redécouvrir un autre. Celui de son œuvre principale de 1927 qui réalisa une véritable révolution, philosophique celle-là, Être et Temps.
sexta-feira, 27 de dezembro de 2013
quinta-feira, 26 de dezembro de 2013
A ESCREVIDA de Chaplin, o Quadrúpede que Ladra - APRESENTAÇÃO
De agora em diante, neste sítio, serão publicadas algumas escrevidas minhas.
O meu nome é Chaplin e sou cão, portanto um quadrúpede. Estas escrevidas poderão surgir, e certamente surgirão, intercaladas com a escrita daquele que se considera o meu dono, e, de facto é porque me convenceu a protegê-lo e eu aceitei. Em todo o caso, não sou nem serei o seu escravo, só o seu protetor.
Esta escrevida destina-se exclusivamente a apresentar aos leitores alguns esclarecimentos propedêuticos à série de escrevidas que, a partir de agora se seguirão, ainda que de forma intermitente.
PRIMEIRO ESCLARECIMENTO:
Escrevida é uma forma de grafar (também se diz escrever) as ideias de um quadrúpede, assim se distinguindo da forma de grafar de um bípede, a que vulgarmente se chama escrita, um nome que parece ter origem num muito erudito particípio verbal, mas que não convém à minha forma de escrever o que me interessa.
SEGUNDO ESCLARECIMENTO:
Num momento, como o de Natal, em que um bípede atribui a si mesmo o direito de abusar da paciência das pessoas e da tolerância própria da época, para anunciar que a nação está a recuperar quando os cidadãos dessa nação, na sua esmagadora maioria, estão a ficar numa situação verdadeiramente prejudicial para eles próprios a que nenhum quadrúpede alguma vez se atreveria a chamar processo de recuperação, é absolutamente indispensável que um quadrúpede como eu levante a voz em defesa do bípede que é meu dono, e de todos os bípedes que, não o sendo, parecem estar a ficar parvos. Para exemplificar, bastará a declaração bípede de um fotógrafo que afirma não recorrer à Internet para publicar as suas fotografias, mas só ao Facebook... Não me surpreenderia que alguns bípedes que estejam a ler esta escrevida não percebam verdadeiramente o problema, mas fazê-los perceber agora isto não está nos objetivos de uma Apresentação. Há coisas que têm de ficar para fases mais avançadas, justamente para que existam e as ideias avancem mesmo.
TERCEIRO ESCLARECIMENTO:
Nesta decisão de publicar algumas das minhas escrevidas não está incluída nenhuma ambição ou desejo ou até necessidade de empreendedorismo. Com efeito, os bípedes estão a promover um conceito de empreendedorismo, compatível com o de animais selvagens, mas incompatíveis comigo que sou um quadrúpede, assumidamente doméstico e civilizado. Com efeito, o conceito de empreendedorismo só é indispensável como forma de sobrevivência na selva, na vida selvagem. Aqui, sim, a sobrevivência é um empreendedrismo inevitável: se precisas de algo, trata de o arranjar e não chateies. Nos contextos civilizados, o empreendedorismo não se destina a garantir a sobrevivência individual, a riqueza individual, a exploração de uns pelos outros, etc., mas o bem comum.
QUARTO ESCLARECIMENTO:
As diferenças de pensamento, de forma de grafar ou de escrever pensamentos, e de outras coisas entre bípedes e quadrúpedes relaciona-se exclusivamente com a modalidade de contacto com a realidade, a que se ligam os seus pés. Essa é, como se sabe, a realidade que é escondida da visão, quer dos bípedes quer dos quadrúpedes, no exato momento em que uns e outros se ligam a ela. Ora, ambos ficam, deste modo, condicionados pelo contacto dos pés com a realidade. Acontece que não é a mesma coisa ligarmo-nos em sistema bípede, ou digital, no modo sim ou não, e ligarmo-nos em sistema quadrúpede, em que cada sim ou não digital tem ainda uma frente e uma traseira. Desta diferença resultam outras que, colocadas ao serviço de qualquer bípede que queira, poderão ser úteis para todos, incluindo os próprios quadrúpedes.
QUINTO ESCLARECIMENTO:
Esta apresentação e os capítulos que, intermitentemente, serão publicados neste sítio, embora tenham origem em entrevistas com o bípede que é o meu dono, ou pensa que é, não adotarão a forma bípede platónica de diálogos, por razões que podem facilmente ser inferidas a partir dos esclarecimentos anteriores.Pelo contrário, os diálogos serão convertidos em narrativas. Se algum leitor não conseguir fazer agora essas inferências, que não desespere. Mais tarde, será manteiga e focinho de cão. Só têm de não perder a sequência de escrevidas.
CONTINUA: I Capítulo - Ó Maeinhe, A História da Octogenária Que Ainda Espera que a Mãe lhe Explique Segredos da Vida.
O meu nome é Chaplin e sou cão, portanto um quadrúpede. Estas escrevidas poderão surgir, e certamente surgirão, intercaladas com a escrita daquele que se considera o meu dono, e, de facto é porque me convenceu a protegê-lo e eu aceitei. Em todo o caso, não sou nem serei o seu escravo, só o seu protetor.
Esta escrevida destina-se exclusivamente a apresentar aos leitores alguns esclarecimentos propedêuticos à série de escrevidas que, a partir de agora se seguirão, ainda que de forma intermitente.
PRIMEIRO ESCLARECIMENTO:
Escrevida é uma forma de grafar (também se diz escrever) as ideias de um quadrúpede, assim se distinguindo da forma de grafar de um bípede, a que vulgarmente se chama escrita, um nome que parece ter origem num muito erudito particípio verbal, mas que não convém à minha forma de escrever o que me interessa.
SEGUNDO ESCLARECIMENTO:
Num momento, como o de Natal, em que um bípede atribui a si mesmo o direito de abusar da paciência das pessoas e da tolerância própria da época, para anunciar que a nação está a recuperar quando os cidadãos dessa nação, na sua esmagadora maioria, estão a ficar numa situação verdadeiramente prejudicial para eles próprios a que nenhum quadrúpede alguma vez se atreveria a chamar processo de recuperação, é absolutamente indispensável que um quadrúpede como eu levante a voz em defesa do bípede que é meu dono, e de todos os bípedes que, não o sendo, parecem estar a ficar parvos. Para exemplificar, bastará a declaração bípede de um fotógrafo que afirma não recorrer à Internet para publicar as suas fotografias, mas só ao Facebook... Não me surpreenderia que alguns bípedes que estejam a ler esta escrevida não percebam verdadeiramente o problema, mas fazê-los perceber agora isto não está nos objetivos de uma Apresentação. Há coisas que têm de ficar para fases mais avançadas, justamente para que existam e as ideias avancem mesmo.
TERCEIRO ESCLARECIMENTO:
Nesta decisão de publicar algumas das minhas escrevidas não está incluída nenhuma ambição ou desejo ou até necessidade de empreendedorismo. Com efeito, os bípedes estão a promover um conceito de empreendedorismo, compatível com o de animais selvagens, mas incompatíveis comigo que sou um quadrúpede, assumidamente doméstico e civilizado. Com efeito, o conceito de empreendedorismo só é indispensável como forma de sobrevivência na selva, na vida selvagem. Aqui, sim, a sobrevivência é um empreendedrismo inevitável: se precisas de algo, trata de o arranjar e não chateies. Nos contextos civilizados, o empreendedorismo não se destina a garantir a sobrevivência individual, a riqueza individual, a exploração de uns pelos outros, etc., mas o bem comum.
QUARTO ESCLARECIMENTO:
As diferenças de pensamento, de forma de grafar ou de escrever pensamentos, e de outras coisas entre bípedes e quadrúpedes relaciona-se exclusivamente com a modalidade de contacto com a realidade, a que se ligam os seus pés. Essa é, como se sabe, a realidade que é escondida da visão, quer dos bípedes quer dos quadrúpedes, no exato momento em que uns e outros se ligam a ela. Ora, ambos ficam, deste modo, condicionados pelo contacto dos pés com a realidade. Acontece que não é a mesma coisa ligarmo-nos em sistema bípede, ou digital, no modo sim ou não, e ligarmo-nos em sistema quadrúpede, em que cada sim ou não digital tem ainda uma frente e uma traseira. Desta diferença resultam outras que, colocadas ao serviço de qualquer bípede que queira, poderão ser úteis para todos, incluindo os próprios quadrúpedes.
QUINTO ESCLARECIMENTO:
Esta apresentação e os capítulos que, intermitentemente, serão publicados neste sítio, embora tenham origem em entrevistas com o bípede que é o meu dono, ou pensa que é, não adotarão a forma bípede platónica de diálogos, por razões que podem facilmente ser inferidas a partir dos esclarecimentos anteriores.Pelo contrário, os diálogos serão convertidos em narrativas. Se algum leitor não conseguir fazer agora essas inferências, que não desespere. Mais tarde, será manteiga e focinho de cão. Só têm de não perder a sequência de escrevidas.
CONTINUA: I Capítulo - Ó Maeinhe, A História da Octogenária Que Ainda Espera que a Mãe lhe Explique Segredos da Vida.
quarta-feira, 25 de dezembro de 2013
terça-feira, 24 de dezembro de 2013
TOP-SECRET DESVENDADO AQUI
PREÂMBULO:
O meu quadrúpede de estimação, o cão Chaplin, já dá sinais evidentes de ter percebido que os cães, leões, etc., que aparecem na televisão não estão lá realmente. Deixou, certamente por isso, de os perseguir atrás ou nos lados do aparelho, quando lhe parecia que tinham fugido. Mas nem por isso alguma vez deixou de lhes ladrar.
O TOP-SECRET DESVENDADO:
Nesta "silent night", que todos aproveitam (eu também) para a concentração, para a reflexão e sobretudo para se afastarem de notícias tristes, e se aproximarem da alegria, aproveito eu também, muito rapidamente, com o mínimo de perturbação possível, para divulgar um segredo guardado a sete chaves, evitando o risco de o que aqui escrevo venha a ser lido.
É o seguinte: todas as agências espaciais sabem que o limiar de segurança do peso da estupidez, concentrada nas mentes dos dirigentes das nações da Terra, foi recentemente ultrapassado com a intervenção da Troika e dos governos dos países sujeitos a essa intervenção. Esse aumento do peso da estupidez está a criar um desequilíbrio nas forças de gravidade que já começaram a atrair para a Terra satélites, planetas do sistema solar, meteoros, etc., que, se não for possível recolocar nas suas órbitas em tempo útil acabarão por destruir a própria Terra, por colisão só comparável com o Big Bang.
RETORNO:
Volto, agora de consciência tranquila por não guardar para mim um segredo e por ninguém o ter sequer lido, ao silêncio. Esta é uma dupla tranquilidade que me permite regressar à "Silent Night".
O meu quadrúpede de estimação, o cão Chaplin, já dá sinais evidentes de ter percebido que os cães, leões, etc., que aparecem na televisão não estão lá realmente. Deixou, certamente por isso, de os perseguir atrás ou nos lados do aparelho, quando lhe parecia que tinham fugido. Mas nem por isso alguma vez deixou de lhes ladrar.
O TOP-SECRET DESVENDADO:
Nesta "silent night", que todos aproveitam (eu também) para a concentração, para a reflexão e sobretudo para se afastarem de notícias tristes, e se aproximarem da alegria, aproveito eu também, muito rapidamente, com o mínimo de perturbação possível, para divulgar um segredo guardado a sete chaves, evitando o risco de o que aqui escrevo venha a ser lido.
É o seguinte: todas as agências espaciais sabem que o limiar de segurança do peso da estupidez, concentrada nas mentes dos dirigentes das nações da Terra, foi recentemente ultrapassado com a intervenção da Troika e dos governos dos países sujeitos a essa intervenção. Esse aumento do peso da estupidez está a criar um desequilíbrio nas forças de gravidade que já começaram a atrair para a Terra satélites, planetas do sistema solar, meteoros, etc., que, se não for possível recolocar nas suas órbitas em tempo útil acabarão por destruir a própria Terra, por colisão só comparável com o Big Bang.
RETORNO:
Volto, agora de consciência tranquila por não guardar para mim um segredo e por ninguém o ter sequer lido, ao silêncio. Esta é uma dupla tranquilidade que me permite regressar à "Silent Night".
Os Acordeonistas Ortográficos Deram-nos Música (sobretudo Valsas e Tangos) - Aumentaram a Ambiguidade na língua Escrita
Embora este não seja um exemplo típico de ambiguidade, introduzida pelo acordeonismo ortográfico, a verdade é que é um perfeito exemplar, comum a outros acordeonados, de vil manipulação publicitária:
Li então: "Vendemos... um produto de alta tecnologia, diz-se, (que custa mais de 700 euros) por 29 euros". Ora, é preciso fazer uma verdadeira ressonância magnética ao anúncio para perceber que "vendemos" está no passado e que corresponde a um azar, se for verdade, de venda em leilão. Uma ressonância magnética Hi-Tec.
Li então: "Vendemos... um produto de alta tecnologia, diz-se, (que custa mais de 700 euros) por 29 euros". Ora, é preciso fazer uma verdadeira ressonância magnética ao anúncio para perceber que "vendemos" está no passado e que corresponde a um azar, se for verdade, de venda em leilão. Uma ressonância magnética Hi-Tec.
segunda-feira, 23 de dezembro de 2013
Citação de Eugénio Henrique (Irmão de Jorge Barbosa)
Em: linhacurva. blogspot. com:
palavras sem paladar
há palavras que me enganam no canto das palavras | sopram-me palavras de nada | agitam em palavras que não sou | a luz e o som dessas palavras enganam no canto do sopro meu | há palavras que não tenho | procuro-as no som do nada | palavras de poetas, palavras de profetas, palavras de ninguém, palavras que traço de água leva ao canto de alguém | há palavras de luz | há palavras que me enganam no engano de mim | escrevo palavras sem poema sem teorema sem algema | são palavras do desenho do canto onde estou | amo o ser no vazio das palavras | quase nada | quase tudo | o vazio das palavras que engano | há palavras de dormir de acordar de viver e de o deixar | há palavras no silêncio que me enganam | há palavras nuas no canto da nudez que deus fez | há palavras de silêncio que agitam o meu grito surdo | escrevo no rio de palavras que não digo | são bestas são palavras que finjo | duras imaturas sem traço sem laço | há palavras que pinto na cor do som da luz | a cor das palavras é no canto desassossego e finjo | não há no traço da água que vejo a palavra engano | Há palavras que me enganam no canto do que sou | não não sou sem palavras tenho-as dentro do canto o canto das palavras | o lugar sem paladar.
COISAS E SINAIS SEM NEXO
O cartaz publicitário de custojusto.pt a proclamar que vende um lugar no céu continua no mesmo sítio, uma placa vertical de trânsito, já ali, a poucos metros de minha casa e antes de um jardim público, que está a ficar realmente agradável e sedutor, a proibir o estacionamento e até a paragem de automóveis nos lugares sinalizados horizontalmente como propositadamente feitos para estacionamento de automóveis, do outro lado do mesmo jardim, uma placa a anunciar a conveniência (ainda bem que é amarelo) de escolher um percurso alternativo a coisíssima nenhuma cumprem, talvez humoristicamente, a sua gloriosa tarefa de se divertir à custa dos incautos.
Caute, como diria Espinosa, que decidiu identificar os seus escritos com esta palavra latina, que quer dizer: tem cautela, e o logotipo de uma rosa. Caute, que nem tudo é feito com má intenção e, portanto, não devemos condenar-nos uns aos outros pela ignorância de cada um (como Platão pensava poder fazer - como se a placa vertical de interdição do que é aconselhado horizontalmente tivesse força para se corrigir), mas, por isso mesmo, devemos pensar bem, para nos aperfeiçoarmos e nos corrigirmos a nós próprios, também na época de Natal, que não pode ou não deve ser uma sinalização horizontal, contrariada por uma outra vertical. CAUTE e FELICIDADES PARA TODOS.
Caute, como diria Espinosa, que decidiu identificar os seus escritos com esta palavra latina, que quer dizer: tem cautela, e o logotipo de uma rosa. Caute, que nem tudo é feito com má intenção e, portanto, não devemos condenar-nos uns aos outros pela ignorância de cada um (como Platão pensava poder fazer - como se a placa vertical de interdição do que é aconselhado horizontalmente tivesse força para se corrigir), mas, por isso mesmo, devemos pensar bem, para nos aperfeiçoarmos e nos corrigirmos a nós próprios, também na época de Natal, que não pode ou não deve ser uma sinalização horizontal, contrariada por uma outra vertical. CAUTE e FELICIDADES PARA TODOS.
domingo, 22 de dezembro de 2013
Da Wikipedia : A História de Sísifo (para nos entendermos, ao nível metafórico, pelo menos)
A história de Sísifo[editar | editar código-fonte]
Mestre da malícia e da felicidade, ele entrou para a tradição como um dos maiores ofensores dos deuses.
Segundo Higino, ele odiava seu irmão Salmoneu; perguntando a Apolo como ele poderia matar seu inimigo, o deus respondeu que ele deveria ter filhos com Tiro, filha de Salmoneu, que o vingariam. Dois filhos nasceram, mas Tiro, descobrindo a profecia, os matou. Sísifo se vingou ... Nota 1 e, por causa disso, ele recebeu como castigo na terra dos mortos empurrar uma pedra até o lugar mais alto da montanha, de onde ela rola de volta3 4 .
Segundo Pausânias, ele tornou-se rei de Corinto após a partida de Jasão e Medeia; nesta versão, Medeia não matou os próprios filhos por vingança, mas escondeu-os no templo de Hera esperando que, com isso, eles se tornassem imortais.5
Sísifo casou-se com Mérope, uma das sete Plêiades, tendo com ela um filho, Glauco.2 Ele também teve outros filhos, Ornitião, Tersandro e Almus6 .
Certa vez, uma grande águia sobrevoou sua cidade, levando nas garras uma bela jovem. Sísifo reconheceu a jovem Égina, filha de Asopo, um deus-rio. Mais tarde, o velho Asopo veio perguntar-lhe se sabia do rapto de sua filha e qual seria seu destino. Sísifo logo fez um acordo: em troca de uma fonte de água para sua cidade, ele contaria o paradeiro da filha. O acordo foi feito e a fonte presenteada recebeu o nome de Pirene2 7 .
Assim, ele despertou a raiva do grande Zeus, que enviou o deus da Morte, Tânato, para levá-lo ao mundo subterrâneo. Porém o esperto Sísifo conseguiu enganar o enviado de Zeus. Elogiou sua beleza e pediu-lhe para deixá-lo enfeitar seu pescoço com um colar. O colar, na verdade, não passava de uma coleira, com a qual Sísifo manteve a Morte aprisionada e conseguiu driblar seu destino.
Durante um tempo não morreu mais ninguém. Sísifo soube enganar a Morte, mas arrumou novas encrencas. Desta vez com Hades, o deus dos mortos, e com Ares, o deus da guerra, que precisava dos préstimos da Morte para consumar as batalhas.
Tão logo teve conhecimento, Hades libertou Tânato e ordenou-lhe que trouxesse Sísifo imediatamente para as mansões da morte. Quando Sísifo se despediu de sua mulher, teve o cuidado de pedir secretamente que ela não enterrasse seu corpo.
Já no inferno, Sísifo reclamou com Hades da falta de respeito de sua esposa em não o enterrar. Então suplicou por mais um dia de prazo, para se vingar da mulher ingrata e cumprir os rituais fúnebres. Hades lhe concedeu o pedido. Sísifo então retomou seu corpo e fugiu com a esposa. Havia enganado a Morte pela segunda vez.
Outra história a respeito de Sísifo trata do ocorrido quando Autólico, o mais esperto e bem-sucedido ladrão da Grécia (que era filho de Hermes e vizinho de Sísifo), tentou roubar-lhe o gado. Autólico mudava a cor dos animais. As reses desapareciam sistematicamente sem que se encontrasse o menor sinal do ladrão, porém Sísifo começou a desconfiar de algo, pois o rebanho de Autólico aumentava à medida que o seu diminuía. Sísifo, um homem letrado (teria sido um dos primeiros gregos a dominar a escrita), teve a ideia de marcar os cascos de seus animais com sinais de modo que, à medida que a res se afastava do curral, aparecia no chão a frase "Autólico me roubou". Posteriormente, Sísifo e Autólico fizeram as pazes e se tornaram amigos. Sísifo também seduziu Anticleia, filha de Autólico, que mais tarde se casou com o rei de Ítaca, Laerte; por este motivo, Odisseu é considerado, por alguns autores, como filho de Sísifo8 .
Sísifo morreu de velhice e Zeus enviou Hermes para conduzir sua alma a Hades. No tártaro, Sísifo foi considerado um grande rebelde e teve um castigo, juntamente comPrometeu, Tício, Tântalo e Íxion.
Por toda a eternidade Sísifo foi condenado a rolar uma grande pedra de mármore com suas mãos até o cume de uma montanha, sendo que toda vez que ele estava quase alcançando o topo, a pedra rolava novamente montanha abaixo até o ponto de partida por meio de uma força irresistível3 9 . Por esse motivo, a tarefa que envolve esforços inúteis passou a ser chamada "Trabalho de Sísifo".
NÃO ME CHATEIEM: NÃO HÁ MEIOS SUPERIORES OU INFERIORES UNS AOS OUTROS
Os livros, a televisão, os computadores, a internet, uma pedra, um bocado de madeira e por aí fora são, ou podem ser, meios, não finalidades. Não se superiorizam uns aos outros, nem sequer são nada de relevante para a humanidade, antes de serem institucionalizados, isto é, antes de fazerem parte da caixa de ferramentas dos seres humanos, muitas vezes guardadas em anexos no fundo do quintal.
Quando uso o computador e a internet para criticar a institucionalização da televisão, não estou a criticar a televisão como meio, mas quem a usa, mas não por a usar e sim por a usar do modo como o faz.
Está claro?
OUTRA COISA: não vale a pena usar o anonimato, um meio institucionalizado, para fazer comentários, parvos ou inteligentes, neste blog. É que, por definição, sem a minha intervenção deliberada, não passam de lixo electrónico. OK?
Não me chateiem que o dia está cinzento, e eu gosto de sol. Não sou da Floresta Negra.
Quando uso o computador e a internet para criticar a institucionalização da televisão, não estou a criticar a televisão como meio, mas quem a usa, mas não por a usar e sim por a usar do modo como o faz.
Está claro?
OUTRA COISA: não vale a pena usar o anonimato, um meio institucionalizado, para fazer comentários, parvos ou inteligentes, neste blog. É que, por definição, sem a minha intervenção deliberada, não passam de lixo electrónico. OK?
Não me chateiem que o dia está cinzento, e eu gosto de sol. Não sou da Floresta Negra.
Positivista, hem? - Então, Viva a Sinceridade
Não me lembro de ter tido tempo para ver tanta televisão na minha vida. Só por preguiça. Aquilo da televisão nunca me pareceu, com algumas honrosas exceções, grande coisa. Por vezes, é mesmo um farrapo de papel de parede falante. Pois bem: ouvi uma coisa que saltou de repente do papel de parede para a boca do palco. Um fulano, seguramente muito mais importante do que a minha experiência de vida me permite compreender, afirmou: "como sou positivista (nem mais nem menos) o papel que mais aprecio no circo é o do palhaço, porque faz rir..." Boa, senhor de quem nem sequer sei o nome. Até lhe vou chamar BRO. Positivista, hem?
Ternura e Solidariedade de Natal
A ternura e a solidariedade, sejam de que época forem, do Natal também portanto, são constituintes indispensáveis da vontade de se ser humano, mesmo, e apesar de poderem ter uma inspiração transcendente.
Uma e outra podem, no entanto, ser palavras que escondem essa dinâmica insegura, essa vontade humana de se ser humano. Fiquei de boca aberta quando li uma mensagem publicitária no meu mail, convidando-me a aderir a um cartão de compras solidário. Como tenho tido algum tempo disponível de afazeres escravizantes, procurei saber em pormenor do que se tratava. E descobri que a única solidariedade que o cartão promovia de facto era a solidariedade entre as empresas vendedoras. Não estou a exagerar. Receio, pela imagem e por outros abusos, que, se não tivesse tempo para ver as coisas com cuidado, tivesse sido vilmente enganado. A solidariedade, tal como a ternura, não merece este despudor.
CONSELHO MEU (um dos muitos possíveis): lavemos e perfumemos as nossas memórias. Há que aproveitar as circunstâncias para arranjarmos forças para o fazer. E sejamos ternos e solidários, a sério, também no Natal.
Uma e outra podem, no entanto, ser palavras que escondem essa dinâmica insegura, essa vontade humana de se ser humano. Fiquei de boca aberta quando li uma mensagem publicitária no meu mail, convidando-me a aderir a um cartão de compras solidário. Como tenho tido algum tempo disponível de afazeres escravizantes, procurei saber em pormenor do que se tratava. E descobri que a única solidariedade que o cartão promovia de facto era a solidariedade entre as empresas vendedoras. Não estou a exagerar. Receio, pela imagem e por outros abusos, que, se não tivesse tempo para ver as coisas com cuidado, tivesse sido vilmente enganado. A solidariedade, tal como a ternura, não merece este despudor.
CONSELHO MEU (um dos muitos possíveis): lavemos e perfumemos as nossas memórias. Há que aproveitar as circunstâncias para arranjarmos forças para o fazer. E sejamos ternos e solidários, a sério, também no Natal.
A HUMANIDADE NÃO É UMA ESSÊNCIA MODELAR - É A VONTADE DE SER HUMANO
Este espaço talvez não sirva para isto. Mas uns debates que andam no Facebook (tenho tido tempo para ver), de braço geneticamente deslocado, a deslocar os outros para o conformismo com a "realidade" tal como está, gera em mim a imperativa necessidade de arriscar. OS DIREITOS HUMANOS NÃO SÃO UMA VERDADE CIENTÍFICA. Têm, PELO CONTRÁRIO, UMA DIGNIDADE MUITO SUPERIOR. Correspondem o seu debate, a sua adoção, a sua retificação, a sua atualização..., à RESPONSABILIZAÇÃO DOS HOMENS PERANTE A GESTÃO DA CIDADE, COM LIBERDADE FACE AOS PODERES TRANSCENDENTES DE ORGANIZAÇÃO POLÍTICA QUE SEMPRE SERVIRAM E SERVEM AINDA PARA REGULAR A VIDA SOCIAL (MITOS, RELIGIÕES... ). São portanto, não valores morais, mas modelos em movimento de regulação democrática, respeitadora da vontade, que podemos e devemos desenvolver em nós, independentemente de qualquer fiscal transcendente, para nos garantirmos a nós próprios e, por via da inevitabilidade, a todos os outros concidadãos. Ninguém é livre e tem acesso a uma vida boa, se for restringida essa liberdade a um outro qualquer. Este alerta não é de Mandela. Este alerta tem milhares de anos, e tem passado despercebido a quem nunca deveria passar. Mas fazem bandeiras com a ideia, para decorar o ambiente. Em resumo, OS DIREITOS HUMANOS, EM PERMANENTE DEBATE, CORRESPONDEM AO EXERCÍCIO DA LIBERDADE E RESPONSABILIDADE POLÍTICAS DOS HOMENS, SEM DESCULPAS ATIRADAS PARA FORÇAS QUE OS TRANSCENDEM (A VERDADE CIENTÍFICA - TÃO MAL TRATADA E TÃO PRÓXIMA DAS CRENÇAS MÍTICAS DE ANTANHO - A REALIDADE, O MITO, A RELIGIÃO...). VALEM MAIS, MUITO MAIS, DO QUE ISSO TUDO JUNTO, UMA VEZ QUE ATÉ GARANTEM QUE A SUPERSTIÇÃO DELIRANTE OS POSSA COMBATER DELIRANTEMENTE.
E não temos nada a recear, se o seu debate se situar no espaço político de debate, de comunicação entre humanos. A sua adoção como Norma até pode não ser universal (como não é atualmente), mas será sempre um posicionamento, que não deve, não pode, ser desprezado, desde que não sirva para justificar (como acontece, por exemplo nas Guerras Santas) os atentados, a que estamos a assistir. Os direitos humanos não são uma religião, são, em mais do que um aspeto, uma alternativa à submissão dos homens àquilo que acham insondável e, por via disso, legitimamente arbitrário. SÃO A VONTADE DE SER HUMANO, SÃO A CRIAÇÃO PARTILHADA DA HUMANIDADE, SEM TUTELAS TRANSCENDENTES QUE, DE OUTROS PONTOS DE VISTA, ATÉ PODEM SER IMPORTANTES E DESEJÁVEIS.
E não temos nada a recear, se o seu debate se situar no espaço político de debate, de comunicação entre humanos. A sua adoção como Norma até pode não ser universal (como não é atualmente), mas será sempre um posicionamento, que não deve, não pode, ser desprezado, desde que não sirva para justificar (como acontece, por exemplo nas Guerras Santas) os atentados, a que estamos a assistir. Os direitos humanos não são uma religião, são, em mais do que um aspeto, uma alternativa à submissão dos homens àquilo que acham insondável e, por via disso, legitimamente arbitrário. SÃO A VONTADE DE SER HUMANO, SÃO A CRIAÇÃO PARTILHADA DA HUMANIDADE, SEM TUTELAS TRANSCENDENTES QUE, DE OUTROS PONTOS DE VISTA, ATÉ PODEM SER IMPORTANTES E DESEJÁVEIS.
sábado, 21 de dezembro de 2013
Os Meus Livrinhos e a Divulgação Dramatizada e Visual da Filosofia
Descobri uma forma de publicação em eBook de alguns livrinhos meus (livrinhos, não pela dimensão - o último que descobri nos arquivos do computador até tem 158 páginas em formato A4, sem qualquer desperdício de dedicatórias, páginas assim e assado. Livrinhos, porque são reativos, pelo menos em 10 a 20%, até que a sua escrita me proporcione alguma tranquilidade e indiferença face à origem da provocação, e também porque reúnem textos, escritos em momentos animicamente diferentes e crus, sem qualquer cozimento que lhes dê o sabor estruturado de um livro. Essa editora do eBook, gratuita porque não sei como se ganha dinheiro, está, simpática e gratuitamente, a imprimir uma versão em papel que me envia para casa. Decidi oferecer uma dessas versões em papel (A4, um pouco inestético, mas a culpa é minha) ao meu Reaizador de Cinema mais próximo, por uma simples questão de gosto nisso. É talvez o livrinho de que mais gosto.
Ora acontece que, de uma conversa sobre estética, filosofia, divulgação visual, dramatizada, dialógica, da filosofia, chegamos à conclusão de que uma certa rigidez de maus dançarinos estraga, mais do que arranja imagens que se pretende divulgar da filosofia. Mesmo quando o conteúdo é bom. Mostrei-lhe alguns exemplares de vídeos que circulam na Net, alguns deles promovidos por Editoras de livros escolares. Escandalizou-se com a má qualidade da luz, da fotografia, da representação e de outras coisas (pelos vistos, ser um pouco mais rigoroso não custaria, só por si, mais dinheiro, só bom gosto).
Ficou combinado que relesse aquele livrinho que lhe ofereci e alguns outros para estudarmos melhor o assunto. E leu os novos e releu os antigos. Chegou, então à conclusão de que não é difícil dramatizar visualmente as polémicas - pelos vistos, encontrou elementos humorísticos e momentos dolorosos que se podem responsabilizar pela adesão emocional do público (nunca tinha visto as coisas nesta perspetiva) sem as concessões "pimba" de quem realiza, porque ficarão ao critério do público, que conservará todo o direito e a possibilidade de chorar com o humor, e rir-se com dor.
O que ele quer? Trabalhar no guião. Passar um texto que serviria para um documentário de divulgação, para a dramatização. E já não me dá descanso. De vez em quando, lá vem ele - não há pressa, diz, mas eu sei que está com comichões de pistoleiro nas mãos, porque esse tipo de vontade de não ter as mãos vazias deve ter a ver com algo genético.
Veja-se só no que me meti eu. Guião... a minha ideia de guião... bem tenho uma, até várias... e depois? de que é que isso me serve para a filosofia, uma arte que cultivo... seria bem mais fácil fazer um guião para coisas que não cultivo e que me são indiferentes... Vamos lá ver... Talvez daqui a uns meses... Talvez na Páscoa, possa estar em condições de oferecer a amigos, alunos e professores, alguma coisa deste género - tenho de me pressionar.
Ora acontece que, de uma conversa sobre estética, filosofia, divulgação visual, dramatizada, dialógica, da filosofia, chegamos à conclusão de que uma certa rigidez de maus dançarinos estraga, mais do que arranja imagens que se pretende divulgar da filosofia. Mesmo quando o conteúdo é bom. Mostrei-lhe alguns exemplares de vídeos que circulam na Net, alguns deles promovidos por Editoras de livros escolares. Escandalizou-se com a má qualidade da luz, da fotografia, da representação e de outras coisas (pelos vistos, ser um pouco mais rigoroso não custaria, só por si, mais dinheiro, só bom gosto).
Ficou combinado que relesse aquele livrinho que lhe ofereci e alguns outros para estudarmos melhor o assunto. E leu os novos e releu os antigos. Chegou, então à conclusão de que não é difícil dramatizar visualmente as polémicas - pelos vistos, encontrou elementos humorísticos e momentos dolorosos que se podem responsabilizar pela adesão emocional do público (nunca tinha visto as coisas nesta perspetiva) sem as concessões "pimba" de quem realiza, porque ficarão ao critério do público, que conservará todo o direito e a possibilidade de chorar com o humor, e rir-se com dor.
O que ele quer? Trabalhar no guião. Passar um texto que serviria para um documentário de divulgação, para a dramatização. E já não me dá descanso. De vez em quando, lá vem ele - não há pressa, diz, mas eu sei que está com comichões de pistoleiro nas mãos, porque esse tipo de vontade de não ter as mãos vazias deve ter a ver com algo genético.
Veja-se só no que me meti eu. Guião... a minha ideia de guião... bem tenho uma, até várias... e depois? de que é que isso me serve para a filosofia, uma arte que cultivo... seria bem mais fácil fazer um guião para coisas que não cultivo e que me são indiferentes... Vamos lá ver... Talvez daqui a uns meses... Talvez na Páscoa, possa estar em condições de oferecer a amigos, alunos e professores, alguma coisa deste género - tenho de me pressionar.
Não é a Cultura que é Cara - O que Custa Dinheiro é o Facto de as Pessoas Terem de Pagar para Não Perder a Dignidade, Mesmo Quando Produzem Cultura
Criou-se no ambiente de produção e divulgação cultural a ideia de que é legítimo que um agente dessa área se sinta devidamente recompensado só por o seu nome surgir nos créditos que divulgam o produto. Não era mau que assim fosse. Mas, para isso, seria necessário identificar agentes de realização, de produção, de divulgação, etc., de cultura como gente que é sustentada pela escravatura de outros de outras áreas da intervenção social. E, deste ponto de vista, o que poderia ser bom torna-se péssimo.
Pois bem, conheço um jovem, desde que nasceu e que me conhece a mim desde esse mesmíssimo momento, que tem colaborado com a concretização da ideia dos gestores municipais da cidade de Paulo Rocha (um realizador e produtor de cinema bastante ignorado nos circuitos comerciais, porque não fez filmes comerciais). Para que se saiba, tive conhecimento do respeito que Paulo Rocha despertava no circuito cinéfilo de França, algum tempo antes de esse rapaz ter nascido. Na semana do Cinema Português (muito mais rico do que se pensa em Portugal) em Poitiers, assisti a filmes e a vários debates com realizadores portugueses no Teatro Municipal da cidade e em outros sítios (na verdade, comprei um livre trânsito para todas as sessões da semana e quase não faltei a nenhuma). Foi aí que vi e ouvi Manoel de Oliveira a falar e a dizer em público que o seu assistente de realização, Paulo Rocha, o salvou do vazio e da dificuldade em dar continuidade à obra iniciada. A primeira e logo decisiva colaboração deu-se num filme quase desconhecido, e completamente desprezado pelos circuitos comerciais, "A Caça". Na verdade, era um filme experimental, sem tempo que o incluísse numa grande metragem e com tempo demais para ser incluído numa Curta. Era só um filme denso, de qualidade fotográfica invejável e agradavelmente ritmado. Manoel de Oliveira ficou de tal modo encantado pela beleza da imagem que parece, por vezes, ter-se esquecido do ritmo, que não da densidade.
Acontece que esse tal jovem (para mim, será sempre jovem porque está fora de hipótese que venha a ser mais velho, ou, sequer, tão velho como eu) foi, sem qualquer benefício de capital de relações prévias, protegido como assistente de realização, como assistente de produção e até, de algum modo como realizador e guionista das suas próprias Curtas, e de outros modos, por Paulo Rocha. E, embora tenham discutido muito um com o outro, por vezes zangaram-se mesmo, não conseguiram nunca deixar de de ser amigos um do outro. Esse jovem foi escolhido para lhe fazer um elogio fúnebre há não muito tempo. Assisti e fiquei sinceramente comovido.
Feitas as apresentações, digamos ao que venho:
Essa administração municipal, tendo sabido que esse tal rapaz está a fazer um estudo académico de nível bastante elevado sobre o último filme de Paulo Rocha "Se fosse ladrão... roubava", uma montagem, absolutamente original e provocatória de citações dos seus anteriores filmes, isto é, uma ousadia sem nome, de uma beleza incontestável, mas incompreensível para quem não conheça a sua obra e os seus atores, contratou de algum modo a sua colaboração para o efeito.
O que é que inquieta o rapaz? É que a próxima sessão de homenagem a Paulo Rocha prevê a passagem do filme "A Ilha dos Amores" de Paulo Rocha, destinada a alunos das escolas da cidade, certamente só para encher a sala, que a cidade parece estar a borrifar-se para um dos seus mais originais e cultos criadores de arte.
E ele (o tal rapaz) acha indecente que se espere que os jovens dessas escolas tenham de compreender e sobretudo aderir emocionalmente a uma arte mais reflexiva do que outra coisa qualquer, depois de terem sido treinados afincadamente a olhar para as imagens, em movimento, ou estáticas, para justamente se pouparem ao trabalho de reflexão. E já está incomodado por antecipação porque está a prever a atitude disciplinadora dos professores, mais incómoda do que o desinteresse dos alunos, na sala de projeção. É, apesar das imperfeições certamente da minha responsabilidade, bom rapaz.
Ele gostaria de fazer montagens, criar ritmos de apresentação, representações explicativas, dinamismo, surpresa, etc., nessa homenagem, através justamente da apresentação selecionada de cenas da "Ilha dos Amores". Mas Isso custa dinheiro... Mais vale fazer um simulacro de algo que corre sérios riscos de denegrir aquele que se quer homenagear.
E qual é, então, o problema da "Ilha dos Amores" de Paulo Rocha? O seu filme dá voz à tradição oriental da Ilha dos Amores, que certamente terá inspirado Camões a compor uma versão ocidentalizada, mas com um sentido muito idêntico, muito libertador. Os alunos, naturalmente, nem fazem ideia de que a tradição da Ilha dos Amores não foi criada originalmente por Camões. A outra dificuldade, e ainda mais séria, é que Paulo Rocha foi embaixador, diplomata, qualquer coisa do género no Japão, e adorou a influência da tradição poética Haiku de Bashô (por outro lado, o pai de Paulo Rocha foi um importante, bastante rico, e muito mais azarado, proprietário de empresa import-export com navios próprios que privilegiou as relações com o Brasil, país onde alguns poetas se deixaram, a partir de 1930, seduzir por essa arte). As cenas da "Ilha dos Amores" de Paulo são em formato Haiku, se assim se pode dizer. É que o Haiku, na sua forma mais completa, associa-se à imagem e retoma um nome diferente (tenho de parar de dar informação a mais, porque a cada vez que a acrescento ela cria insuficiências).
Esse filme de uma poesia sublime, mas estranha para quem tenha lido os Lusíadas, e ainda muito mais para quem não o leu, dura mais de três horas. Trata-se de uma produção artística, sem objetivos de circuito comercial, que se pagou, praticamente sem lucro, no circuito de debate reflexivo da arte. Para amantes. Não para indiferentes.
E agora? Valia ou não a pena montar visualmente a homenagem de forma a que as imagens animassem um debate, a curiosidade, a provocação, a destruição da distância de quem vê face a quem tornou visível?
Não há respeito pela arte quando se lhe falta ao respeito, apresentando-a, em formato de homenagem, de forma inacessível. Corrigir isto custa algum dinheiro, pois custa. Mas não é a arte que custa dinheiro. É o trabalho das pessoas. E esse tem de ser pago aos artistas, aos criadores de um bem comum, tal (pelo menos) como está a ser pago aos destruidores desse e de outros bens comuns, só para garantir a paridade das armas nesta guerra, que os doidos estão a levar de vencida, pelos menos a ver pela sua desfaçatez.
Pois bem, conheço um jovem, desde que nasceu e que me conhece a mim desde esse mesmíssimo momento, que tem colaborado com a concretização da ideia dos gestores municipais da cidade de Paulo Rocha (um realizador e produtor de cinema bastante ignorado nos circuitos comerciais, porque não fez filmes comerciais). Para que se saiba, tive conhecimento do respeito que Paulo Rocha despertava no circuito cinéfilo de França, algum tempo antes de esse rapaz ter nascido. Na semana do Cinema Português (muito mais rico do que se pensa em Portugal) em Poitiers, assisti a filmes e a vários debates com realizadores portugueses no Teatro Municipal da cidade e em outros sítios (na verdade, comprei um livre trânsito para todas as sessões da semana e quase não faltei a nenhuma). Foi aí que vi e ouvi Manoel de Oliveira a falar e a dizer em público que o seu assistente de realização, Paulo Rocha, o salvou do vazio e da dificuldade em dar continuidade à obra iniciada. A primeira e logo decisiva colaboração deu-se num filme quase desconhecido, e completamente desprezado pelos circuitos comerciais, "A Caça". Na verdade, era um filme experimental, sem tempo que o incluísse numa grande metragem e com tempo demais para ser incluído numa Curta. Era só um filme denso, de qualidade fotográfica invejável e agradavelmente ritmado. Manoel de Oliveira ficou de tal modo encantado pela beleza da imagem que parece, por vezes, ter-se esquecido do ritmo, que não da densidade.
Acontece que esse tal jovem (para mim, será sempre jovem porque está fora de hipótese que venha a ser mais velho, ou, sequer, tão velho como eu) foi, sem qualquer benefício de capital de relações prévias, protegido como assistente de realização, como assistente de produção e até, de algum modo como realizador e guionista das suas próprias Curtas, e de outros modos, por Paulo Rocha. E, embora tenham discutido muito um com o outro, por vezes zangaram-se mesmo, não conseguiram nunca deixar de de ser amigos um do outro. Esse jovem foi escolhido para lhe fazer um elogio fúnebre há não muito tempo. Assisti e fiquei sinceramente comovido.
Feitas as apresentações, digamos ao que venho:
Essa administração municipal, tendo sabido que esse tal rapaz está a fazer um estudo académico de nível bastante elevado sobre o último filme de Paulo Rocha "Se fosse ladrão... roubava", uma montagem, absolutamente original e provocatória de citações dos seus anteriores filmes, isto é, uma ousadia sem nome, de uma beleza incontestável, mas incompreensível para quem não conheça a sua obra e os seus atores, contratou de algum modo a sua colaboração para o efeito.
O que é que inquieta o rapaz? É que a próxima sessão de homenagem a Paulo Rocha prevê a passagem do filme "A Ilha dos Amores" de Paulo Rocha, destinada a alunos das escolas da cidade, certamente só para encher a sala, que a cidade parece estar a borrifar-se para um dos seus mais originais e cultos criadores de arte.
E ele (o tal rapaz) acha indecente que se espere que os jovens dessas escolas tenham de compreender e sobretudo aderir emocionalmente a uma arte mais reflexiva do que outra coisa qualquer, depois de terem sido treinados afincadamente a olhar para as imagens, em movimento, ou estáticas, para justamente se pouparem ao trabalho de reflexão. E já está incomodado por antecipação porque está a prever a atitude disciplinadora dos professores, mais incómoda do que o desinteresse dos alunos, na sala de projeção. É, apesar das imperfeições certamente da minha responsabilidade, bom rapaz.
Ele gostaria de fazer montagens, criar ritmos de apresentação, representações explicativas, dinamismo, surpresa, etc., nessa homenagem, através justamente da apresentação selecionada de cenas da "Ilha dos Amores". Mas Isso custa dinheiro... Mais vale fazer um simulacro de algo que corre sérios riscos de denegrir aquele que se quer homenagear.
E qual é, então, o problema da "Ilha dos Amores" de Paulo Rocha? O seu filme dá voz à tradição oriental da Ilha dos Amores, que certamente terá inspirado Camões a compor uma versão ocidentalizada, mas com um sentido muito idêntico, muito libertador. Os alunos, naturalmente, nem fazem ideia de que a tradição da Ilha dos Amores não foi criada originalmente por Camões. A outra dificuldade, e ainda mais séria, é que Paulo Rocha foi embaixador, diplomata, qualquer coisa do género no Japão, e adorou a influência da tradição poética Haiku de Bashô (por outro lado, o pai de Paulo Rocha foi um importante, bastante rico, e muito mais azarado, proprietário de empresa import-export com navios próprios que privilegiou as relações com o Brasil, país onde alguns poetas se deixaram, a partir de 1930, seduzir por essa arte). As cenas da "Ilha dos Amores" de Paulo são em formato Haiku, se assim se pode dizer. É que o Haiku, na sua forma mais completa, associa-se à imagem e retoma um nome diferente (tenho de parar de dar informação a mais, porque a cada vez que a acrescento ela cria insuficiências).
Esse filme de uma poesia sublime, mas estranha para quem tenha lido os Lusíadas, e ainda muito mais para quem não o leu, dura mais de três horas. Trata-se de uma produção artística, sem objetivos de circuito comercial, que se pagou, praticamente sem lucro, no circuito de debate reflexivo da arte. Para amantes. Não para indiferentes.
E agora? Valia ou não a pena montar visualmente a homenagem de forma a que as imagens animassem um debate, a curiosidade, a provocação, a destruição da distância de quem vê face a quem tornou visível?
Não há respeito pela arte quando se lhe falta ao respeito, apresentando-a, em formato de homenagem, de forma inacessível. Corrigir isto custa algum dinheiro, pois custa. Mas não é a arte que custa dinheiro. É o trabalho das pessoas. E esse tem de ser pago aos artistas, aos criadores de um bem comum, tal (pelo menos) como está a ser pago aos destruidores desse e de outros bens comuns, só para garantir a paridade das armas nesta guerra, que os doidos estão a levar de vencida, pelos menos a ver pela sua desfaçatez.
quinta-feira, 19 de dezembro de 2013
quarta-feira, 18 de dezembro de 2013
Vou Ser Polido e Não Dizer O Que Realmente Penso Do Governo Atual da Educação - ou - A Linguagem de Caserna (eduquês) Enclausurada do Ministro Crato
Sou mais velho do que o Sr. Ministro da Educação. Tenho muito mais experiência de professor de ensino secundário do que ele, embora menos de ensino superior. A minha formação académica é diferente, mas não é, no respeito pelas diferenças inevitáveis, inferior, e inclui uma Universidade Francesa, uma Universidade Portuguesa, e um Laboratório de Investigação Científica na Universidade francesa (na qualidade de bolseiro do Governo Francês). Só esclareço este assunto, de forma muito sumária, porque a minha única intenção é ser-lhe de alguma utilidade como conselheiro, que ouvirá ou a que ligará, se muito bem lhe apetecer, mas não de vítima do seu egocentrismo ou de subserviência às suas crenças e conceitos de uso privado (a que deveria ter o cuidado de só recorrer em sítios próprios).
Não vou comentar os disparates que disse e diz do ponto de vista de ciências, para as quais visivelmente não tem formação académica suficiente (ninguém é omnisciente, e ele também não - o que há, até em exagero, é gente presunçosa). Só pretendo mesmo esclarecer algumas coisas que ele insiste em apagar a luz que lhe resta, como em todas as outras pessoas, para não ver ou para falar sem se ver ao espelho.
Na entrevista que deu na RTP1 equacionou bem, numa certa perspetiva perfeitamente razoável, que sendo uma opção política assumida tem a legitimidade democrática a sustentá-la, não a verdade científica, ao contrário do que a sua postura indicia. Não há que recear a ideologia. Aquilo que há a recear é a alienação, que começa no justo instante em que um ideólogo se considera a si mesmo competente por razões não ideológicas, científicas, por exemplo.
Também concordo que o acesso à formação de professores deve ser cuidadosamente revisto. Mas, sendo esta uma questão muito complexa e não dependente exclusivamente de medidas do ministro da educação, é desaconselhável introduzir fatores de instabilidade, de insegurança e de respeito muito hipócrita no acesso à profissão. Até, neste momento, uma criança de Jardim de Infância já percebeu que há profissões, que, pelo sucesso que garantem no acesso a uma vida digna dos seus profissionais, se tornam muito seletivas no acesso à formação. O senhor ministro introduz exames seletivos obrigatórios, mas destrói com muito zelo os fatores que o ajudariam a ele e a todos nós a colocar a profissão docente num nível de dignidade seletiva, sem ofensa (pelo menos aparente ou deliberada) para ninguém.
Também concordo com as críticas que faz ao sistema de formação profissional de docentes. Neste caso, talvez eu seja ainda mais crítico do que ele. Ele é mais novo do que eu e talvez não saiba certas coisas. Vamos esclarecer o assunto. Um governo de esquerda, o de Lurdes Pintassilgo, tinha introduzido um sistema de profissionalização, de acesso à carreira docente, muito, mas mesmo muito mais exigente do que um simulacro de exame com perguntas de escolha múltipla. Prolongava-se por dois anos e implicava um tempo de formação para o professor em estágio que o colocava numa situação real de docência numa escola real, sob supervisão permanente. A primeira coisa que o governo de Cavaco fez foi destruir este sistema, penalizar a carreira diplomática de Lurdes Pintassilgo, e introduzir um sistema de profissionalização que corresponde a um plano inclinado, onde a velocidade da decadência é uniformemente acelerada. Já caiu há muito tempo em terra firme, estando agora a fazer exploração subterrânea.
Outras coisas que disse, não vou comentar, porque, de facto, convictamente, só quero ajudar.
Qual é a ajuda afinal que está na minha mente? Pois bem, só quero aconselhá-lo a que tendo equacionado um problema, se atreva a encontrar a solução para ele e não para outra coisa qualquer que não é enunciado como problema (deformação de quem trabalhou num laboratório de investigação experimental). Por exemplo, se é preciso rever urgentemente as condições de acesso à profissão, então que se negoceiem e corrijam aquelas que, no formato de imposição legal, estão em vigor. O mesmo se diga a respeito de qualquer outra equação. Que a solução não seja simplesmente outra nova equação, neste caso inadequada, posterior ao reconhecimento legal de acesso. Rever o acesso à profissão não é manter o sistema de acesso à profissão, e, depois de ele se ter consumado, estabelecer um mecanismo de controlo que é abusivo, ou que só não seria, se não houvesse um processo legal, socialmente aceite, de acesso prévio.
Não vou alongar-me, para evitar ser menos polido.
Fica só o conselho global, para que o senhor ministro da educação não desate a correr pelo campo de jogo para marcar golo, e quando está à frente da baliza aberta já nem sabe o que lá foi fazer. Pega na bola com a mão e põe-se a protestar contra a incompreensão de pessoas que o senhor só consegue imaginar com a luz apagada.
Não vou comentar os disparates que disse e diz do ponto de vista de ciências, para as quais visivelmente não tem formação académica suficiente (ninguém é omnisciente, e ele também não - o que há, até em exagero, é gente presunçosa). Só pretendo mesmo esclarecer algumas coisas que ele insiste em apagar a luz que lhe resta, como em todas as outras pessoas, para não ver ou para falar sem se ver ao espelho.
Na entrevista que deu na RTP1 equacionou bem, numa certa perspetiva perfeitamente razoável, que sendo uma opção política assumida tem a legitimidade democrática a sustentá-la, não a verdade científica, ao contrário do que a sua postura indicia. Não há que recear a ideologia. Aquilo que há a recear é a alienação, que começa no justo instante em que um ideólogo se considera a si mesmo competente por razões não ideológicas, científicas, por exemplo.
Também concordo que o acesso à formação de professores deve ser cuidadosamente revisto. Mas, sendo esta uma questão muito complexa e não dependente exclusivamente de medidas do ministro da educação, é desaconselhável introduzir fatores de instabilidade, de insegurança e de respeito muito hipócrita no acesso à profissão. Até, neste momento, uma criança de Jardim de Infância já percebeu que há profissões, que, pelo sucesso que garantem no acesso a uma vida digna dos seus profissionais, se tornam muito seletivas no acesso à formação. O senhor ministro introduz exames seletivos obrigatórios, mas destrói com muito zelo os fatores que o ajudariam a ele e a todos nós a colocar a profissão docente num nível de dignidade seletiva, sem ofensa (pelo menos aparente ou deliberada) para ninguém.
Também concordo com as críticas que faz ao sistema de formação profissional de docentes. Neste caso, talvez eu seja ainda mais crítico do que ele. Ele é mais novo do que eu e talvez não saiba certas coisas. Vamos esclarecer o assunto. Um governo de esquerda, o de Lurdes Pintassilgo, tinha introduzido um sistema de profissionalização, de acesso à carreira docente, muito, mas mesmo muito mais exigente do que um simulacro de exame com perguntas de escolha múltipla. Prolongava-se por dois anos e implicava um tempo de formação para o professor em estágio que o colocava numa situação real de docência numa escola real, sob supervisão permanente. A primeira coisa que o governo de Cavaco fez foi destruir este sistema, penalizar a carreira diplomática de Lurdes Pintassilgo, e introduzir um sistema de profissionalização que corresponde a um plano inclinado, onde a velocidade da decadência é uniformemente acelerada. Já caiu há muito tempo em terra firme, estando agora a fazer exploração subterrânea.
Outras coisas que disse, não vou comentar, porque, de facto, convictamente, só quero ajudar.
Qual é a ajuda afinal que está na minha mente? Pois bem, só quero aconselhá-lo a que tendo equacionado um problema, se atreva a encontrar a solução para ele e não para outra coisa qualquer que não é enunciado como problema (deformação de quem trabalhou num laboratório de investigação experimental). Por exemplo, se é preciso rever urgentemente as condições de acesso à profissão, então que se negoceiem e corrijam aquelas que, no formato de imposição legal, estão em vigor. O mesmo se diga a respeito de qualquer outra equação. Que a solução não seja simplesmente outra nova equação, neste caso inadequada, posterior ao reconhecimento legal de acesso. Rever o acesso à profissão não é manter o sistema de acesso à profissão, e, depois de ele se ter consumado, estabelecer um mecanismo de controlo que é abusivo, ou que só não seria, se não houvesse um processo legal, socialmente aceite, de acesso prévio.
Não vou alongar-me, para evitar ser menos polido.
Fica só o conselho global, para que o senhor ministro da educação não desate a correr pelo campo de jogo para marcar golo, e quando está à frente da baliza aberta já nem sabe o que lá foi fazer. Pega na bola com a mão e põe-se a protestar contra a incompreensão de pessoas que o senhor só consegue imaginar com a luz apagada.
Repito - É que esta repetição é mesmo oportuna, embora inútil para alertar quem interessaria.
(...) a verdade não é coisa preexistente a descobrir, mas em todos os domínios, mesmo no científico, é sempre objecto de uma criação, sempre produto de sentido, isto é, como reformulação dos dados dos problemas, invenção de novas condições, suscitação de novos modos de ver, de sentir e de pensar: toda a verdade interessante se estabelece como crítica, ou “falsificação”, de outras verdades, de ideias preestabelecidas. A verdade depende sempre do sentido, não o inverso, e o sentido de uma coisa é a sua novidade, a sua singularidade, o seu interesse, a sua criação da possibilidade de novas percepções, afecções ou ideações. É esse, com efeito, o mais elevado poder do pensamento: não a da faculdade da verdade, mas a do novo, a da criação de sentido. Isto é particularmente nítido na filosofia e é isso que a aproxima muito mais da arte do que da ciência.
Eduardo Prado Coelho interpreta esta perspectiva de Deleuze como correspondendo a uma passagem do paradigma científico, funcionando por argumentos e controvérsias, a um paradigma estético definido por linhas de energia e de sentido. Com efeito para Deleuze, filosofar não é saber, mas criar.
Como todas as coisas, a filosofia não pode querer ter razão contra a sua época. Mas a filosofia pode e deve ter razão antes dela, como força criativa e de antecipação de novas possibilidades. Então, sendo o mundo um imenso dispositivo de comunicação, há uma responsabilidade que a filosofia deve assumir desde já: descomunicar, introduzir curto-circuitos na comunicação. Filosofar é ter vergonha. Vergonha dos homens, vergonha de ser homem. E essa vergonha não tem de ser exclusivamente motivada pelas grandes tragédias absurdas, guerras e barbáries, mas também por situações irrisórias, quotidianas, uma afirmação, uma conversa, uma extrema mediocridade do pensamento, o discurso de um homem do Estado, um programa de TV.
A filosofia deve servir, pelo menos, para irritar os imbecis, para envergonhar a estupidez, para fazer da estupidez algo de vergonhoso.
Segundo Deleuze, através dos modelos de racionalidade comunicativa, a filosofia nada mais faz do que colaborar, fornecendo instrumentos “validados” à tarefa social dos media. Graças a este sistema comunicacional, já não é necessário dominar os outros através da disciplina e da obediência, porque o controlo, o condicionamento do movimento livre, uma nova espécie de servidão voluntária vieram substituir a disciplina e a obediência. (de um texto meu em preparação; isto nunca mais acaba)
Páscoa, Romantismo, Surrealismo
Uma certa inatividade tem-me permitido ver, como ambiente de fundo, alguns programas de televisão que, tirando o facto de existirem como papel de parede, não me parecem grande coisa. Como sabemos por experiência, por vezes a imagem, o som, etc. de fundo atira-se para a frente do palco. Foi o que aconteceu com a colaboração de umas jovens psicólogas realmente inteligentes e com uma qualidade que invejo, a de serem capazes de subordinar, sem humilhar nem ofender, o rigor científico ao objectivo de serem entendidas. Falavam do sorriso e do seu papel na felicidade. Elas não disseram que o sorriso resolve os problemas que nos afetam, mas ajuda a resolver as nossas afeções, por outras palavras, obviamente.
Certamente para alimentar e engordar o conceito de ritmo televisivo (como se isso fosse só uma conveniência de quem vê e não um combate comercial, entre operadoras e contra a participação refletida dos espectadores) esta colaboração das psicólogas foi intervalada por uma reportagem (?) a crianças sobre, justamente, o sorriso. A uma delas, foi perguntado "em que momento sorris mais?"; a criança podia dizer qualquer coisa, mas respondeu algo genial: "na Páscoa". Surrealista.
Vamos lá então ao surrealismo.
O meu computador acordou também com uma mensagem: "início das férias escolares de Natal". Muito romanticamente, ouvi o toque de campainha e reagi como se estivesse a pegar num balde cheio de água, que, afinal, estava vazio. Surrealismo outra vez.
E agora que estou para aqui a pensar nisto, embora sem rede, só porque não a tenho procurado (deve existir algures uma ou mais), a minha situação bilingue gera conflitos. A palavra original é a francesa Surréalisme. Não é Sou-réalisme (nem existe verdadeiramente tal palavra, a não ser eventualmente associada à dimensão poética da vida, ou a um barbarismo intelectual, ou a um programa de humor, e por aí). Surréalisme (pode ser feita a analogia com Surgelé) significa ultra-realismo. Isto digo eu sem rede. O que aconteceu foi que o ultra-realismo realista, digamos assim, sentiu o ultra-realismo romântico como um absurdo. O absurdo consistiria em dizer, por exemplo, que "a água canta no leito de um rio", quando sabemos que a água não se dá ao trabalho de cantar nada. Talvez seja esta coisa que tenha levado Dali a representar uma mulher a ver-se ao espelho, tal como ela se vê e não como o pintor a vê. (De novo, sem rede)
Aonde quero chegar: Este ultra-realismo não deixa, no entanto, de ser freudiano, lacaniano... Coisa bem surrealista, esta. Tal como as férias escolares de Natal e a Páscoa, como o momento em que uma criança se dedica a sorrir com mais vontade e com mais frequência.
Certamente para alimentar e engordar o conceito de ritmo televisivo (como se isso fosse só uma conveniência de quem vê e não um combate comercial, entre operadoras e contra a participação refletida dos espectadores) esta colaboração das psicólogas foi intervalada por uma reportagem (?) a crianças sobre, justamente, o sorriso. A uma delas, foi perguntado "em que momento sorris mais?"; a criança podia dizer qualquer coisa, mas respondeu algo genial: "na Páscoa". Surrealista.
Vamos lá então ao surrealismo.
O meu computador acordou também com uma mensagem: "início das férias escolares de Natal". Muito romanticamente, ouvi o toque de campainha e reagi como se estivesse a pegar num balde cheio de água, que, afinal, estava vazio. Surrealismo outra vez.
E agora que estou para aqui a pensar nisto, embora sem rede, só porque não a tenho procurado (deve existir algures uma ou mais), a minha situação bilingue gera conflitos. A palavra original é a francesa Surréalisme. Não é Sou-réalisme (nem existe verdadeiramente tal palavra, a não ser eventualmente associada à dimensão poética da vida, ou a um barbarismo intelectual, ou a um programa de humor, e por aí). Surréalisme (pode ser feita a analogia com Surgelé) significa ultra-realismo. Isto digo eu sem rede. O que aconteceu foi que o ultra-realismo realista, digamos assim, sentiu o ultra-realismo romântico como um absurdo. O absurdo consistiria em dizer, por exemplo, que "a água canta no leito de um rio", quando sabemos que a água não se dá ao trabalho de cantar nada. Talvez seja esta coisa que tenha levado Dali a representar uma mulher a ver-se ao espelho, tal como ela se vê e não como o pintor a vê. (De novo, sem rede)
Aonde quero chegar: Este ultra-realismo não deixa, no entanto, de ser freudiano, lacaniano... Coisa bem surrealista, esta. Tal como as férias escolares de Natal e a Páscoa, como o momento em que uma criança se dedica a sorrir com mais vontade e com mais frequência.
terça-feira, 17 de dezembro de 2013
Dúvida e Verdade
De um livro meu, publicado gratuitamente na iBookstore, como eBook, apesar de tudo com 158 páginas, o que não quer dizer nada de diferente da minha reação àquilo que me parecia, e ainda parece, ser um plano inclinado de decadência uniformemente acelerada do ensino da filosofia nas escolas secundárias em Portugal, sob influência de tendências de crítica cultural em voga em culturas que não valorizam a filosofia no Ensino Secundário e não a ensinam no quadro de uma disciplina autónoma. Talvez queiram companhia.
Filosofia em tempos Difíceis (nome do livro):
Descartes duvida de tudo de forma hiperbólica, salvo talvez do significado
das palavras “enganar alguém” no enunciado: “Um génio maligno... que empregou toda a sua astúcia a enganar-me (8).” (se tivesse dúvidas sobre se estava a ser enganado pelo génio maligno, a coisa ficaria seriamente complicada; teria de admitir como verdade, ou como existência anterior à sua possibilidade de existir, que o génio maligno empregava toda a sua astúcia a enganá-lo. O mesmo seria admitir uma verdade anterior à verdade.)
Quem quiser pode aprofundar a ideia, lendo as "Investigações Filosóficas" de Wittgenstein que tentou demonstrar, com sucesso, que, nem metodicamente como Descartes, seria possível duvidar de tudo. Pelas mesmíssimas razões, eu diria que não é possível saber tudo.
(este post é inspirado numa conversa confidencial, cujo conteúdo manterei fora do espaço público, com uma pessoa com quem não concordo, mas que respeito muito pela sua autenticidade; é também inspirado pela minha atividade recente de limpar o pó a muita coisa no meu computador e no meu sistema de base de dados bibliográficos - muito mais do que o de que me lembrava ativamente.)
Batalhas e Guerreiros
Há coisas que é preciso intelectualizar antes de as dizer. Não, porque sejam intelectuais (por isso, são intelectualizadas), mas porque é mais fácil, nem mais correto, nem menos, só mais fácil por se camuflarem numa roupagem que as liberta, enclausurando-as nos seus limites.
Ninguém tem toda a razão. Descartes, muito hipocritamente, porque colocou a sua distribuição ao serviço da sua razão, de Descartes, chama a nossa atenção para isso mesmo. Porque Descartes não tem toda a razão, podemos dispensar-nos de nos preocupar com isso.
Ora, acontece que Wittgenstein também não tem toda a razão, sobretudo quando, na sua primeira versão, inspira aqueles que reduzem a razão a uma gramática, sem discurso. A sua aversão à escrita, tal como a de Sócrates (para quem a razão é o discurso também), fez com que desprezasse o leitor. Talvez por isso mesmo, tantos leitores escorregaram na casca de banana que Wittgenstein deixou cair no chão.
Diz, então, Wittgenstein que as afirmações que sejam verdadeiras, independentemente das circunstâncias do mundo, não têm sentido. Então, 2+2=4, verdade independente das circunstâncias do mundo, não tem sentido. Dito por outras palavras, não significa nada fora de si mesma. É muito importante, não o seu significado que não tem, mas o seu caráter instrumental, de enxada, para a qual é indiferente ser usada para semear batatas, ou para chacinar uma serpente no campo de cultivo.
Chegamos, agora, ao ponto que interessa. O conceito de grande batalha não tem sentido, ou, dito por outras palavras, só tem "sentido" para si mesmo, não significando nada fora dele. Um grande massacre é um grande massacre, seja hoje, amanhã, ontem, aqui ou ali. Não tem sentido. Não se desloca para aqui ou para ali numa linha de direção (uma certa falta de cultura linguística, anda por aí a fazer confusões entre o conceito, por exemplo, de direção Porto-Lisboa, e o conceito de sentido Porto-Lisboa, numa linha que, no mínimo envolve dois sentidos).
Só os guerreiros podem ser grandes ou pequenos. O problema é que são grandes e pequenos, nessa tal linha, a ser percorrida dinamicamente em dois sentidos: o da grandeza e o da pequenez.
Ninguém tem toda a razão. Descartes, muito hipocritamente, porque colocou a sua distribuição ao serviço da sua razão, de Descartes, chama a nossa atenção para isso mesmo. Porque Descartes não tem toda a razão, podemos dispensar-nos de nos preocupar com isso.
Ora, acontece que Wittgenstein também não tem toda a razão, sobretudo quando, na sua primeira versão, inspira aqueles que reduzem a razão a uma gramática, sem discurso. A sua aversão à escrita, tal como a de Sócrates (para quem a razão é o discurso também), fez com que desprezasse o leitor. Talvez por isso mesmo, tantos leitores escorregaram na casca de banana que Wittgenstein deixou cair no chão.
Diz, então, Wittgenstein que as afirmações que sejam verdadeiras, independentemente das circunstâncias do mundo, não têm sentido. Então, 2+2=4, verdade independente das circunstâncias do mundo, não tem sentido. Dito por outras palavras, não significa nada fora de si mesma. É muito importante, não o seu significado que não tem, mas o seu caráter instrumental, de enxada, para a qual é indiferente ser usada para semear batatas, ou para chacinar uma serpente no campo de cultivo.
Chegamos, agora, ao ponto que interessa. O conceito de grande batalha não tem sentido, ou, dito por outras palavras, só tem "sentido" para si mesmo, não significando nada fora dele. Um grande massacre é um grande massacre, seja hoje, amanhã, ontem, aqui ou ali. Não tem sentido. Não se desloca para aqui ou para ali numa linha de direção (uma certa falta de cultura linguística, anda por aí a fazer confusões entre o conceito, por exemplo, de direção Porto-Lisboa, e o conceito de sentido Porto-Lisboa, numa linha que, no mínimo envolve dois sentidos).
Só os guerreiros podem ser grandes ou pequenos. O problema é que são grandes e pequenos, nessa tal linha, a ser percorrida dinamicamente em dois sentidos: o da grandeza e o da pequenez.
segunda-feira, 16 de dezembro de 2013
sábado, 14 de dezembro de 2013
Analógico e Digital
Dentro em breve, o meu maravilhoso cão estará em condições de contar, ou de mandar contar a um escravo, como fazia Platão, o diálogo que tem mantido comigo nos últimos tempos.
Estou autorizado por ele a divulgar o seu conceito de superioridade dos quadrúpedes face aos bípedes. Quer uns quer outros ligam-se à realidade, ao mundo, pelos pés, e escondem completamente os únicos pontos de ligação à realidade em simultâneo. Por cada vez que ponham os pés num sítio, deixam de o ver, para só o sentir. (Ocorreu-me agora que talvez o meu cão tenha lido Espinosa - tenho de lhe perguntar).
Mas há uma grande diferença: os bípedes ligam-se em formato digital: falso ou verdadeiro, belo ou não belo, 0 ou 1, etc. ; os quadrúpedes ligam-se do mesmo modo, mas acrescentam que o falso ainda tem outra ligação: a frente e atrás. Tal como o verdadeiro, e tudo o resto.
Ele depois conta a história.
Agora, o que me surpreendeu foi o empenho com que a Apple (empresa bípede) apoia a construção de câmaras de campo de luz, com caraterísticas totalmente analógicas (de enormíssima qualidade, tal como máquinas fotográficas antigas) numa "lógica" digital. Lindo. Há aqui talvez alguma confusão. Mas não interessa, sobretudo para quem tenha dinheiro e gosto pela fotografia como arte, isto é como invenção do visível.
Estou autorizado por ele a divulgar o seu conceito de superioridade dos quadrúpedes face aos bípedes. Quer uns quer outros ligam-se à realidade, ao mundo, pelos pés, e escondem completamente os únicos pontos de ligação à realidade em simultâneo. Por cada vez que ponham os pés num sítio, deixam de o ver, para só o sentir. (Ocorreu-me agora que talvez o meu cão tenha lido Espinosa - tenho de lhe perguntar).
Mas há uma grande diferença: os bípedes ligam-se em formato digital: falso ou verdadeiro, belo ou não belo, 0 ou 1, etc. ; os quadrúpedes ligam-se do mesmo modo, mas acrescentam que o falso ainda tem outra ligação: a frente e atrás. Tal como o verdadeiro, e tudo o resto.
Ele depois conta a história.
Agora, o que me surpreendeu foi o empenho com que a Apple (empresa bípede) apoia a construção de câmaras de campo de luz, com caraterísticas totalmente analógicas (de enormíssima qualidade, tal como máquinas fotográficas antigas) numa "lógica" digital. Lindo. Há aqui talvez alguma confusão. Mas não interessa, sobretudo para quem tenha dinheiro e gosto pela fotografia como arte, isto é como invenção do visível.
sexta-feira, 13 de dezembro de 2013
DOUTRINA SOCIAL DA IGREJA
Reconheço que tenho dificuldade em escrever de forma atraente sobre a DSI. Por isso, estou a preparar uma apresentação sintética, com tudo o que isso transporta de imprecisão quando essa síntese se refere a retóricos pregadores com milénios de filogénese.
Nesse texto, não haverá elogios meus: só uma crítica sincera às afirmações e atitudes de cristãos (católicos em primeiro lugar) que se dedicaram à política e que representam o papel da Besta do Apocalipse.
E este insulto à inteligência justifica esta minha ousadia.
Motivação Imediata:
- Preciso de ocupar o meu pensamento
- Fui agredido por um programa de televisão, todo ele dirigido a retirar a componente política de algumas afirmações do Papa atual
- Preciso de muito mais tempo para ser capaz de interpretar um pensamento de muitos milénios e excessivamente bem estruturado.
Vamos só ver quanto tempo preciso para conseguir essa síntese.
quinta-feira, 12 de dezembro de 2013
A Estética de Hegel (aulas)
Encontrei finalmente excertos fiáveis e integrais, se combinados corretamente uns com os outros, das lições de Hegel sobre Estética, nas minhas bases de dados. Hegel é um pouco obscuro a escrever, mas consegue complicar as coisas ainda um pouco mais quando fala. Estas lições são faladas e reproduzidas por escrito. Portanto... Vou ver se faço uma seleção destas lições numa tradução para português tão aceitável quanto a minha dificuldade. Como alguém com comichão se sente motivado para se coçar, assim eu tenho de retomar a escrita, nem que seja para nada.
Aqui vai um exemplo:
I. Delimitação da Estética e Refutação de Algumas
Objeções contra a Filosofia da Arte
Por meio desta expressão excluímos de imediato o belo natural. Tal delimitação de nosso objeto pode, sob certo aspecto, parecer uma determinação arbitrária, já que cada ciência está autorizada a demarcar como bem entende a extensão de seu campo. Mas não devemos tomar neste sentido a limitação da estética ao belo da arte.
É certo que na vida quotidiana estamos acostumados a falar de belas cores, de um belo
céu, de um belo rio, como também de belas flores, de belos animais e, ainda mais, de belos seres humanos, embora não queiramos aqui entrar na discussão acerca da possibilidade de se poder atribuir a tais objetos a qualidade da beleza e de colocar o belo natural ao lado do belo artístico. Mas pode-se desde já afirmar que o belo artístico está acima da natureza. Pois a beleza artística é a beleza nascida e renascida do espírito e, quanto mais o espírito e suas produções estão colocadas acima da natureza e seus fenómenos, tanto mais o belo artístico está acima da beleza da natureza.
Sob o aspecto formal, mesmo uma má ideia, que porventura passe pela cabeça dos homens, é superior a qualquer produto natural, pois em tais ideias sempre estão presentes a espiritualidade e a liberdade. É verdade que segundo o conteúdo, por exemplo, o sol aparece como um momento absolutamente necessário, enquanto uma ideia enviesada se desvanece como casual e efémera. Mas, tomada por si mesma, a existência natural como a do sol é indiferente, não é livre em si mesma e autoconsciente e, se a considerarmos segundo a sua conexão necessária com outras coisas, não a estaremos considerando por ela mesma e, portanto, não como bela.
Dissemos, de modo geral, que o espírito e sua beleza artística estão acima do belo natural. Entretanto, com isso quase nada foi de facto estabelecido, pois "acima" é uma expressão totalmente indeterminada, que ainda designa a beleza natural e a beleza artística como se estivessem uma ao lado da outra no espaço da representação; ela apenas estabelece uma diferença quantitativa e, por isso, exterior. A superioridade do espírito e de sua beleza artística perante a natureza, porém, não é apenas algo relativo, pois somente o espírito é o verdadeiro, que tudo abrange em si mesmo, de modo que tudo o que é belo só é verdadeiramente belo quando toma parte desta superioridade e é por ela gerada. Neste sentido, o belo natural aparece somente como um reflexo do belo pertencente ao espírito, como um modo incompleto e imperfeito, um modo que, segundo a sua substância, está contido no próprio espírito. - Além disso, parece-nos bastante natural a limitação à arte bela, pois mesmo que se fale de belezas naturais - menos nos antigos do que entre nós - nunca ocorreu a ninguém enfocar as coisas naturais do ponto de vista de sua beleza, e constituir uma ciência, uma exposição sistemática, de tais belezas. Ao contrário, já foram tratadas do ponto de vista da utilidade e concebeu-se, por exemplo, uma ciência das coisas naturais que servem para combater as doenças, uma matéria médica, uma descrição de minerais, produtos químicos, plantas, animais que são úteis para a cura, mas as riquezas da natureza nunca foram compiladas e julgadas do ponto de vista da beleza. Sentimo-nos em relação à beleza natural demasiadamente no elemento do indeterminado, não possuindo critério e, por isso, uma tal compilação ofereceria muito pouco interesse.
Estas observações prévias sobre a beleza na natureza e na arte, sobre a relação de ambas e a exclusão da primeira do âmbito de nosso autêntico objeto devem afastar a concepção de que a delimitação de nossa ciência deve-se somente à arbitrariedade e ao capricho. Essa relação por enquanto não deve ser demonstrada, pois sua consideração recai no seio de nossa própria ciência e deve, por isso, ser somente mais tarde discutida e provada com mais rigor.
(Claro, pode ser que continue)
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