domingo, 22 de abril de 2012

Os Liberais Estúpidos

É difícil compreender o conceito de "liberalismo". Se, por um lado, significa a subordinação dos princípios de organização social ao respeito pela liberdade individual, por outro lado, poucos são os liberais que defendem essa liberdade individual, ao nível dos costumes privados (eutanásia, descriminalização do aborto, consumo de drogas, etc.). Defendem a liberdade individual para os negócios públicos, o que, sendo contraditório, é como é. Os anti liberais pretendem que o Estado regule os negócios públicos, mas são liberais no que diz respeito aos costumes individuais. Na prática, portanto, não há um liberalismo puro, se nos limitarmos às ideologias dos partidos conhecidos. O libertarismo de Nozick está demasiado próximo da anarquia, para que possa seduzir por completo os liberais que querem viver da sua ligação à estrutura partidária. Preservam desse libertarismo só o conceito de Estado mínimo e de "livre mercado".
Eu acredito que a organização social deve subordinar-se ao conceito de justiça social, o que pressupõe a liberdade individual obviamente, mas não se reduz a ela.
Em todo o caso, o que surpreende nos liberais portugueses, actualmente no poder, é a sua tendência anarquista.
Os governos liberais da Europa defendem a liberalização do despedimento individual.  Mas fazem-no, porque acreditam no mercado, e, portanto, não reduzem o valor das compensações financeiras, a atribuir aos trabalhadores desempregados. Na verdade, exigem que a empresa, ou os seus gestores, avalie as relações de custo-benefício no despedimento individual, para que não resulte simplesmente de uma noite mal dormida. Não concordo com esta estratégia liberal, porque, como disse, a justiça social deve prevalecer, nos negócios públicos, sobre o exercício da liberdade individual. Por outras palavras, ninguém deveria ter o direito de usar a sua liberdade para ser socialmente injusto. Mas compreendo a ideia: despedir é uma estratégia económica, que se fundamenta em opções de gestão, e não na arbitrariedade da empresa. Portanto, para despedir é preciso compensar.
O governo português liberaliza o despedimento individual e reduz as compensações por despedimento. Isto não é liberalismo; isto é estupidez. Para o governo português, despedir não tem de ser uma decisão de gestão; pode ser quase completamente arbitrária. Por conseguinte, reduz as compensações por despedimento individual (sem justa causa).
Einstein dizia que a loucura é insistir teimosamente numa solução que não resolve o problema. Esta é também uma das definições mais claras de neurose. Pode ser que não seja estupidez aquilo que leva um governo a persistir em soluções, que já se mostraram ineficientes, para a Educação e outros sectores, ou que insiste na ideia de que liberalizar é o mesmo que legitimar e promover o poder dos mais fortes. De facto, pode mesmo ser uma forma perigosa de neurose, que alimenta uma fé doentia em algo que só o neurótico sabe o que é.
Por mim, preferia que o governo de Portugal não fosse tão imberbe.

François Hollande vence a primeira volta das eleições em França

O candidato do PS francês ganhou a primeira volta das eleições com 28,4% dos votos. Sarkozy ficou com 25,5%. Em termos práticos, isto significa que Sarkosy precisa dos perigosos 20% dos votos da "Front National" (frente de extrema direita) para ficar próximo da vitória na segunda volta. Só que uma boa parte dos eleitores da "Front National" não vota ideologicamente; pelo contrário, vota contra o poder, o que limita ainda mais as possibilidades de Sarkosy.
Pela primeira vez em muitos anos, em França, um Presidente da República, que se recandidata, fica em segundo lugar na primeira volta das eleições. Este é um sinal a não negligenciar.
Vejamos o que o futuro nos traz.

quinta-feira, 19 de abril de 2012

O Futuro

Pour George Soros, "les dirigeants européens mènent l'Europe à sa perte"


Économie


"Si je devais investir, je parierais contre l'euro", déclare le financier George Soros, ici à Hong Kong, en février 2010.
"Si je devais investir, je parierais contre l'euro", déclare le financier George Soros, ici à Hong Kong, en février 2010. | AFP

Pour George Soros, "les dirigeants européens mènent l'Europe à sa perte"

LE MONDE | 18.04.2012 à 15h07 • Mis à jour le 18.04.2012 à 17h22

De passage à Paris, le financier George Soros livre ses réflexions sur la crise de la zone euro. Il fustige le poids de la Bundesbank et appelle à un changement politique radical. Visionnaire pour certains en raison de ses critiques du capitalisme, spéculateur sans scrupules pour d'autres après son raid contre la livre sterling en 1992, il développe ces propos dans son dernier ouvrage, Le chaos financier mondial (Presses de la Cité, 215 pages, 18 euros).
Quel regard portez-vous sur l'élection présidentielle française ?
Je ne vous dirai pas pour qui je voterais si j'étais Français ! Je pense que ce scrutin peut faire une différence en permettant une inflexion de la politique française, quel que soit le candidat élu. La France est dans une situation précaire : le marché du travail doit être assoupli, l'âge du départ à la retraite encore relevé, comme en Allemagne qui reste un modèle sur ce point. La France est vraiment en retard.
Cela dit, la politique européenne reste clairement entre les mains de l'Allemagne. Si François Hollande est élu, il lui sera difficile de s'éloigner de la ligne allemande. Une remise en cause de l'orthodoxie financière pourrait exposer le pays à une attaque des marchés.
Etes-vous inquiet de la situation actuelle de la zone euro ?
Je crains que la politique des dirigeants actuels ne mène à un désastre. L'euro menace de détruire l'Union européenne et avec les meilleures intentions, les dirigeants sont en train de mener l'Europe à sa perte en essayant de préserver et d'imposer des règles inappropriées. Et ceux qui jugent la situation intolérable sont désormais tentés par une positon antieuropéenne.
Même si l'euro survit, l'Europe a devant elle une période de grandes difficultés. Elle pourrait être similaire à ce qui est arrivé à l'Amérique latine après la crise de 1982 - une décennie perdue - ou au Japon, qui voit la croissance stagner depuis vingt-cinq ans. Ces pays ont tout de même survécu, mais l'Union européenne n'est pas un pays et je crains qu'elle n'y survive pas.
A quelles règles inappropriées faites-vous référence ?
Les traités de Maastricht et le traité de Lisbonne ont donné de profonds défauts à l'euro. Le premier est connu de longue date : il n'y a pas de Trésor commun, permettant d'emprunter au niveau européen. Mais surtout, et les dirigeants en étaient moins conscients, l'introduction de l'euro a créé de la divergence au lieu d'instaurer de la convergence.
La crise ayant démarré en 2008 a engendré des situations d'endettement et de déficit très éloignées des critères de Maastricht. Les pays les plus fragiles de la zone euro ont découvert qu'ils sont dans une situation de pays du tiers monde, comme s'ils étaient endettés dans une monnaie étrangère. Avec à la clé de réels risques de défaut. Essayer de faire respecter des règles qui n'ont pas fonctionné n'a fait empirer la crise. Malheureusement, les autorités ne le comprennent pas. Elles font trop peu, trop tard et la crise s'amplifie. Pour la première fois, il est désormais possible que l'euro éclate.
L'action de la BCE trouve-t-elle grâce à vos yeux ?
Mario Draghi a lancé une mesure hors du commun avec les 1 000 milliards de liquidités injectés dans le système à travers ses prêts à trois ans. Mais les effets de cette opération ont été cassés par la contre-attaque menée par la Bundesbank [la banque centrale allemande]. Vu l'augmentation de la taille du bilan de la BCE, la Bundesbank s'est aperçu qu'elle encourait de lourdes pertes si jamais l'euro venait à éclater et s'oppose donc à la poursuite de cette politique afin de se protéger. Espérons que cela ne soit pas une prophétie auto-réalisatrice...
Quelles sont vos pistes pour sauver la zone euro ?
La crise peut être stoppée à tout moment. Mais il faut pour cela que les autorités réalisent qu'à situation extraordinaire, il faut des réponses extraordinaires, "out of the box"("hors de la boîte"). Mais les règles ont besoin d'être changées pour être sûr que le système ne ressorte pas de sa boîte.
Une proposition radicale serait de créer une holding à travers la BCE, où les Etats transféreraient 2 000 à 3 000 milliards d'euros d'obligations et n'auraient plus à payer d'intérêt. Ce qui donnerait une bouffée d'air à certains pays fragiles : l'Italie n'aurait plus besoin d'un excédent primaire s'élevant à 3 % du produit intérieur brut pour réduire sa dette. Il faudrait également un agenda de croissance pour la zone euro. Il est impossible de réduire la dette en faisant plonger la croissance économique.
La Grèce est-elle condamnée à sortir de l'euro ? L'Espagne et l'Italie doivent-elles être aidées ?
La Grèce a peut-être intérêt à quitter l'euro, car sa situation semble désormais au-delà de ce qui est réparable. L'Espagne, elle, est en train d'être poussée dans la situation de la Grèce. Le gouvernement de Mariano Rajoy savait sa tâche impossible, il avait demandé à Bruxelles d'étaler dans le temps la réduction de son déficit, mais Bruxelles n'a pas voulu, et aujourd'hui les marchés punissent l'Espagne d'avoir révélé ses faiblesses. Quant à l'Italie, Mario Monti mène les bonnes réformes, mais il commence à perdre le soutien de ses concitoyens.
Pourquoi les dirigeants européens n'agissent-ils pas ?
Le problème est en Allemagne, car l'opinion publique fait confiance à la Bundesbank. Cette dernière représente un des plus grands succès du pays, elle lui a permis d'avoir une monnaie forte. La Bundesbank domine la politique européenne, mais elle mène une action bonne pour l'Allemagne, pas pour l'Europe. Car l'Allemagne est un pays florissant, il bénéficie de la crise de l'euro, du taux de change bas de l'euro par rapport à la force de son économie, et de taux d'intérêt très bas pour financer sa dette.
Ce n'est pas une raison pour ne pas regarder certains problèmes en face, pour trouver des excuses à la Grèce, pour ne pas mener en France des réformes structurelles comme celles ayant été prises par le passé en Allemagne. Ces réformes ne sont cependant pas suffisantes. L'Allemagne les a introduites quand le reste de l'Europe était dans un cycle de croissance, tandis que les autres pays européens les mènent dans une conjoncture mondiale déprimée.
Vous avez longtemps spéculé sur les monnaies. Si c'était à refaire, seriez-vous prêt à parier contre l'euro ?
Je suis désormais à la retraite, et mon fonds Quantum ne possède pas de position en euro. Mais tant qu'il n'y a pas de changement parmi les dirigeants européens, si je devais investir, je parierais contre l'euro. Ou en tout cas, je ne miserais pas dessus.
Certains pays voient monter l'extrême-droite. Cela vous inquiète-t-il ?
C'est ce qui me dérange le plus : la recherche de solutions nationales prend de plus en plus d'ampleur, ce qui peut détruire l'Union européenne. L'Europe a des problèmes très sérieux, mais il faut y trouver une solution européenne.
Comment jugez-vous la santé du secteur bancaire européen ?
La situation reste très sérieuse, car liée à la crise des dettes souveraines. La recapitalisation des banques doit se poursuivre, et en cela le Mécanisme européen de stabilité (le nouveau fonds d'aide permanent de la zone euro) peut être utile. Il faut surtout introduire un vrai contrôle européen sur les banques, car il y a trop de relations incestueuses entre les banques et les gouvernements nationaux. Tout particulièrement en France, avec les "inspecteurs des finances" (en français dans le texte.)
Clément Lacombe et Audrey Tonnelier

terça-feira, 17 de abril de 2012

Pourquoi les "actifs toxiques" séduisent à nouveau les investisseurs


Pourquoi les "actifs toxiques" séduisent à nouveau les investisseurs
Le Monde.fr |  • Mis à jour le 
"UNE CHANCE SUR DEUX"
"Aujourd'hui, avec la très forte baisse des taux (sur les titres d'Etat, la dette bancaire par exemple), les investisseurs cherchent du rendement. Et ce ne sont certainement pas les taux pratiqués aux Etats-Unis, particulièrement bas - entre 2 et 2,5 % sur du dix ans -, qui vont le leur fournir", constate Jean-François Robin, stratégiste chez Natixis.
En Europe, la dette allemande se révèle si peu lucrative pour les investisseurs que la dernière émission obligataire du pays, mercredi, au taux historiquement basde 1,77 % à dix ans, n'a pas été totalement souscrite. Avec une inflation au-dessus des 2 % dans la zone euro ces derniers mois, il est vrai que le calcul est vite fait.
Pour autant, parler d'une ruée vers les junk bonds est exagéré, selon Stéphane Deo, chef économiste Europe chez UBS à Londres. "Je ne pense pas qu'il s'agisse d'un phénomène massif. C'est un micro-marché, qui plus est très risqué. Ce ne sont pas les investisseurs qui achètent des obligations d'Etat, françaises ou allemandes, qui vont parier sur des actifs pourris, sachant qu'ils ont presque une chance sur deux de perdre. Ce sont plutôt, entre autres, les fonds spéculatifs, qui représentent une petite part des investisseurs", nuance-t-il.
"AMÉRICANISATION"
Ce retour des investisseurs vers les actifs spéculatifs, qui coïncide avec une accalmie aussi relative que provisoire des marchés, ne serait pas possible sans"la fin de la forte aversion au risque, consécutive à la crise, estime M. Robin. Apartir du moment où les investisseurs reprennent confiance, pensant qu'on a échappé au scénario du pire et que l'économie est en train de s'en sortir - notamment aux Etats-Unis -, ils sont de nouveau prêts à acheter des dettes jugées trop risquées depuis 2008."
Et même si le président de la banque centrale américaine (Réserve fédérale, Fed),Ben Bernankese montre réservé sur la reprise de l'emploi aux Etats-Unis, pour Stéphane Deo, on est loin du scénario de l'année dernière. "Il ne faut pas oublierqu'il y a encore quelques mois, il y avait un risque systémique très important. On craignait le double-dip [récession en W], le défaut grec et le démantèlement de l'euro, ce qui n'est plus le cas aujourd'hui. Avec 2, 2,5 % de croissance aux Etats-Unis cette année, on a une reprise qui tient", assure-t-il.
UN MARCHÉ DU CRÉDIT "TRÈS LIMITÉ"
Si les junk bonds sont moins tabous outre-Atlantique qu'en Europe, c'est parce qu'ils ont constitué, au début des années 1980, le moyen de financement privilégié aux Etats-Unis pour les petites entreprises. Ils ont également été très prisés des compagnies d'assurance et des fonds de pension durant cette période.
"Aux Etats-Unis, c'était l'époque du capitalisme totalement débridé, alors qu'en Europe, les investisseurs se montraient beaucoup plus prudents, sans compterque nous n'avions pas la même culture dans ce domaine. Et quand, cinq ans après, les junk bonds sont arrivés, de manière balbutiante, sur notre continent, c'était déjà la fin, avec la chute de la banque Drexel Burnham Lambert [provoquée notamment par "l'inventeur des obligations pourries", Michael Milken] et la crise qui s'en est suivie en 1989", souligne Fabrice Guez, stratégiste chez First Finance.
Un héritage toujours palpable, puisqu'"aux Etats-Unis, 70 % du financement des entreprises se fait sur les marchés", un ratio quasiment inversé en Europe, rappelle M. Robin. Plus pour longtemps, prévient-il, puisqu'on se dirige "vers une américanisation du système de financement des entreprises. Avec d'une part la crise qui incite les banques à réduire leur bilan et d'autre part la régulation qui incite les banques à moins prêter directement, les entreprises peuvent être tentées d'aller se financer elles-mêmes sur les marchés".
Preuve en est, pour la première fois depuis trois ans, le montant des obligations émises par les entreprises européennes a dépassé celui des emprunts qu'elles ont contractés auprès des banques (édition Abonnés). "Si l'on était très en retard par rapport aux Américains dans les années 1980, aujourd'hui, à quelques mois près, les junk bonds réapparaissent également en Europe, petit à petit", observe Fabrice Guez.
Pour Jean-François Robin, c'est un bon signe : "Le retour des actifs à haut rendement est plutôt positif. Cela va aider les jeunes entreprises françaises à se refinancer - ce qu'elles ont beaucoup de mal à faire aujourd'hui."
Un avis partagé par Stéphane Deo. "Le marché du crédit est très limité en Europe. Seules les grandes entreprises avec une bonne signature peuvent avoir accès au marché. Or, quand le financement d'une entreprise dépend quasiment d'une seule source, la société devient vulnérable si celle-ci se tarit. C'est pourquoi le retour des actifs pourris est une bonne chose, puisqu'il permet aux entreprises françaises de s'ouvrir au marché et donc de multiplier leurs possibilités de financement".
"TRANSPARENCE"
Reste à ne pas reproduire les erreurs du passé, comme le rappellent en choeur les économistes. "Ce n'est pas forcément mal d'investir sur une entreprise mal ou pas notée, toute la question est d'en mesurer les risques, de les contrôler et, surtout, de diversifier son portefeuille", argumente M. Robin. Avec le danger, sinon, de "provoquer un nouveau scénario de crise financière, si ce marché se développe trop", renchérit M. Deo.
"Dans les années 1980, les entreprises américaines vivaient au-dessus de leurs moyens. Elles pouvaient aller jusqu'à s'endetter à 40 %, alors qu'elles n'étaient pas capables de rembourser - c'est un processus équivalent à ce qui s'est passé dans le cas des subprimes ou avec la Grèce. Aujourd'hui, on n'est plus dans le même ordre de grandeur. Les entreprises s'endettent bien moins cher, à hauteur de 6 % ou 7 %, c'est soutenable en cas de pertes", considère quant à lui M. Guez.
Autre évolution notable dans le comportement des investisseurs, le délaissement de certains véhicules de financement, type CLO (collaterized loan obligation,agrégation d'un certain nombre de prêts aux entreprises via une structure ad hoc), qui ont complètement disparu... au profit des junk bonds.
"Je pense que les CLO ne sont pas prêts de réapparaître. Aujourd'hui, les investisseurs veulent de la transparence. L'avantage des junk bonds c'est que vous savez ce que vous achetez", juge M. RobinPour M. Guez, il faudrait même"changer le nom de ces catégories d'actifs. On passe de 'remboursable' à BBB- à 'jamais remboursé' à BB+. Il manque un niveau intermédiaire. Toutes les obligations dites 'pourries' ne le sont pas".

Concordâncias


Promessas Eleitorais


Exames - a Solução Pré-Histórica


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segunda-feira, 16 de abril de 2012

A Reforma na Educação




No que diz respeito à necessidade de reformar a escola para que seja eficiente, parece não haver falta de consenso. O problema situa-se no que cada um considera "ser eficiente" e, sobretudo, no que cada um pensa serem os fatores de ineficiência.
Há quem coloque a eficiência da escola (como organização) nos ombros dos indivíduos. Podemos encontrar dois motivos para isso:

  1. Assumiram ou alguém lhes atribuiu a responsabilidade de reformar a escola e não sabem por onde começar;
  2. Têm pavor em tocar na sua própria ideia de liberdade. Sabem que é da liberdade que se alimenta a responsabilidade, e, por isso, responsabilizam os indivíduos para que sejam plenamente livres...
Estes dois motivos, em separado ou em conjunto, têm em comum a particularidade de fugirem às dificuldades que uma reforma da escola implica.

Vejamos ao que conduzem:
Num combate frenético contra a ineficiência da escola, que medidas tomou o senhor ministro da educação?
  1. Extinguiu a disciplina de "Área de Projeto" e criou a disciplina de "Formação Cívica" no ensino secundário; ainda a disciplina de formação cívica estava em vias de se instituir e já anunciava o seu fim; finalmente extinguiu-a para o ano imediatamente a seguir ao da sua criação.
  2. Aumentou a carga horária das disciplinas de matemática e português, e diminuiu a carga horária de outras, sendo que do total resulta uma pequena redução da carga horária global.
  3. Instituiu os exames de 4º ano de escolaridade e manteve os exames de 6º ano.
  4. Aumentou o número de alunos por turma.
Afinal, é isto a reforma da escola? 
Temos de concordar que, no fim de contas, se nada mais é necessário, ou se estas são as medidas prioritárias, então a escola está muito bem e não precisa de reforma alguma, só de pequenos ajustamentos sem grande importância e sem impacto na vida do quotidiano dos professores e dos alunos.

sexta-feira, 13 de abril de 2012

Lu sur Libération.fr : Zone euro : nouvelle poussée de grippe espagnole

Zone euro : nouvelle poussée de grippe espagnole

Retrouvez cet article sur Libération.fr
http://www.liberation.fr/economie/2012/04/11/zone-euro-nouvelle-poussee-de-grippe-espagnole_810947



Jorge Barbosa

Lu sur Libération.fr : Tout le monde en parle, personne ne la connaît : la «loi de 1973»

Tout le monde en parle, personne ne la connaît : la «loi de 1973»

Retrouvez cet article sur Libération.fr
http://www.liberation.fr/economie/2012/04/13/7-questions-sur-la-loi-de-1973_811520



Jorge Barbosa

Lu sur Libération.fr : La crise de la dette revient par l’Espagne




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Regras do Concurso de Professores (2012-2013)

quinta-feira, 12 de abril de 2012

Les prix à la consommation continuent d'augmenter en mars

Les prix à la consommation continuent d'augmenter en mars Le Monde.fr avec AFP12.04.12 | 08:58 Les prix à la consommation en France ont progressé de 0,8 % en mars après avoir déjà augmenté de 0,4 % en février, grimpant de 2,3 % sur un an, a annoncé jeudi 12 avril l'Institut national de la statistique et des études économiques (Insee). L'inflation en mars provient en grande partie de la forte augmentation des prix des produits manufacturés  notamment pour l'habillement et les chaussures, mais aussi pour les équipements de sport, de camping et de loisirs de plein air, ou encore des meubles  liée à la fin des soldes d'hiver dans la plupart des départements, précise l'Institut. Mais elle résulte aussi d'augmentations importantes des prix des produits pétroliers, avec un coût de l'énergie en hausse de 1,2 % sur un mois qui suit une hausse de 1 % en février, et de 6,5 % sur un an, dans le sillage de la hausse des prix du pétrole brut. Le renchérissement des prix de l'énergie résulte de celui des prix des carburants, qui augmentent de 2,3 %, tandis qu'avec l'arrivée de températures plus clémentes, les prix des combustibles liquides s'accroissent plus modérément, de 0,6 %. BOND DES PRODUITS FRAIS Les prix alimentaires subissent également une hausse sensible de 0,7 % en mars sur un mois, et de 3,7 % sur un an. Les prix des produits frais font notamment un bond de 5,5 % en mars. Les difficultés de production en février affectent encore les prix des légumes frais, qui augmentent de 4,8 %. De manière saisonnière, les prix des fruits frais sont en hausse de 8,2 %. Hors produits frais, les prix de l'alimentation sont stables, mais ont tout de même augmenté de 3,8 % sur un an. Les prix des services sont quant à eux en légère hausse, de 0,2 % en mars, donnant une hausse de 1,5 % sur un an, note encore l'Insee. A contrario, les produits pharmaceutiques diminuent à nouveau de 0,7 % sur un mois et de 2,4 % sur un an. Les prix des matériels de traitement de l'information baissent aussi légèrement, tout comme ceux des équipements photo et cinéma et des équipements audiovisuels, de téléphonie et de télécopie. L'indicateur d'inflation sous-jacente, c'est-à-dire hors prix volatils (produits pétroliers, produits frais...) et prix administrés (électricité, gaz, tabac...), s'est finalement affiché en hausse de 0,5 % en mars, et de 1,6 % sur un an. L'indice des prix harmonisé IPCH, qui permet des comparaisons avec les autres membres de la zone euro, augmente pour sa part de 0,9 % sur un mois en mars, et de 2,6 % sur un an.

quinta-feira, 5 de abril de 2012

A Linguagem Está Programada para nos Enganar

O Moscardo Volta a Proclamar: Tirar Leite a Grilos Não Mata a Fome



Sua Excelência decide fazer exames de quarta classe. Sua Excelência decide ordenhar grilos, e mandar ordenhar grilos para resolver os problemas da escola.
Se Sua Excelência, com estas decisões, for longe, então ficaremos todos por aqui.

O Moscardo Proclama: Se Sua Excelência, o vagaroso, é Inteligente, então o Povo é Estúpido

Sabe-se que do programa de ajustamento financeiro, em Portugal, fazem parte várias medidas. Uma dessas medidas é a suspensão dos subsídios de férias e de natal dos trabalhadores do Estado e dos pensionistas.
Diz Sua Excelência, o vagaroso: A reposição dos subsídios de férias e de natal será realizada logo que termine o programa de ajustamento financeiro. Ora, o programa de ajustamento financeiro só terminará quando todas as medidas que o compõem se revelem desnecessárias. Portanto, o programa de ajustamento financeiro só terminará quando começarem a ser repostos os subsídios de férias e de natal.
Sua Excelência, o vagaroso, só poderá ser considerado inteligente, se o povo aceitar ser estúpido...